La notion de biopouvoir définie par Foucault comme le contrôle de la vie par une forme de pouvoir souvent (mais pas seulement) incarnée par l'Etat, a fait preuve de sa pertinence lors de la pandémie de COVID-19. Cet ouvrage analyse plus particulièrement les formes multiples du biopouvoir, les résistances et les adhésions qu'il peut susciter. Il tente de comprendre leur mise en oeuvre dans la culture de l'écran telle que vécue par nos sociétés contemporaines.
Littératures anglophones et productions télévisuelles, de Margaret Atwood à Don DeLillo, de Desperate Housewives à Westworld, côtoient ainsi des analyses des systèmes de gestion d'épidémie, de reconnaissance faciale, et des figures tutélaires de la fiction comme le monstre ou le zombie. Le livre permet de réfléchir aux formes du biopouvoir, dans ses manifestations corporelles, sociales, numériques, et culturelles, à la fois sous l'angle de la discipline et de la biopolitique.
La notion de biopouvoir définie par Foucault comme le contrôle de la vie par une forme de pouvoir souvent (mais pas seulement) incarnée par l'Etat, a fait preuve de sa pertinence lors de la pandémie de COVID-19. Cet ouvrage analyse plus particulièrement les formes multiples du biopouvoir, les résistances et les adhésions qu'il peut susciter. Il tente de comprendre leur mise en oeuvre dans la culture de l'écran telle que vécue par nos sociétés contemporaines.
Littératures anglophones et productions télévisuelles, de Margaret Atwood à Don DeLillo, de Desperate Housewives à Westworld, côtoient ainsi des analyses des systèmes de gestion d'épidémie, de reconnaissance faciale, et des figures tutélaires de la fiction comme le monstre ou le zombie. Le livre permet de réfléchir aux formes du biopouvoir, dans ses manifestations corporelles, sociales, numériques, et culturelles, à la fois sous l'angle de la discipline et de la biopolitique.