Face à l'horreur du pogrom de Gorodichtch (Ukraine) en 1920, Peretz Markish réagit avec ses armes : la poésie. Il écrit alors Le tas. Il compare ce tas de cadavres à un mont Sinaï, celui où Dieu s'est adressé à Moïse, et exprime ainsi sa colère à Dieu d'avoir laissé perpétrer un tel massacre. Un poème puissant, moderne et tellement actuel.
Face à l'horreur du pogrom de Gorodichtch (Ukraine) en 1920, Peretz Markish réagit avec ses armes : la poésie. Il écrit alors Le tas. Il compare ce tas de cadavres à un mont Sinaï, celui où Dieu s'est adressé à Moïse, et exprime ainsi sa colère à Dieu d'avoir laissé perpétrer un tel massacre. Un poème puissant, moderne et tellement actuel.