Face à une route
je la prendrai ou non
le temps me porte
pas le mouvement
Douces, pertinentes et énigmatiques, les fenêtres de ce recueil sont nées dans un espace créatif intérieur tel qu'ont pu le conceptualiser le philosophe Jean François Billeter ou l'écrivain Jacques Lusseyran. Page après page se déroule un monde intime où le lecteur devra lui-même s'interroger.
Face à une route
je la prendrai ou non
le temps me porte
pas le mouvement
Douces, pertinentes et énigmatiques, les fenêtres de ce recueil sont nées dans un espace créatif intérieur tel qu'ont pu le conceptualiser le philosophe Jean François Billeter ou l'écrivain Jacques Lusseyran. Page après page se déroule un monde intime où le lecteur devra lui-même s'interroger.