Dernière sortie
Elisabeth de Belgique
De nature extravagante, Elisabeth était attirée par tout ce qui sortait du commun. Elle s'intéressait notamment aux mystères des tombeaux égyptiens, au yoga, à la philosophie indienne, à la psychanalyse et à la médecine alternative Si l'art et la science la passionnaient, elle vénérait la musique classique et la médecine... C'est d'ailleurs sous son impulsion que de nombreuses associations et événements verront le jour, dont le célèbre Concours Reine Elisabeth à Bruxelles. La reine avait de la suite dans les idées. Nul ne pouvait la faire changer d'avis... Ni le gouvernement ni même le roi. Elle s'est d'ailleurs opposée à nombre de personnalités. Officiellement, elle était catholique. Mais dans la réalité, les règles, les interdits religieux et les rituels ne l'attiraient guère. Elisabeth était viscéralement pacifiste. Le communisme la séduisait. Ce n'est pas pour rien qu'on la surnommera " la grand-mère rouge ". Néanmoins, " la reine folle " croyait au rôle et à l'importance de la monarchie. A ses yeux, la seule possibilité d'améliorer le monde ne viendrait ni des partis politiques ni du prolétariat mais de la Maison Royale.
De nature extravagante, Elisabeth était attirée par tout ce qui sortait du commun. Elle s'intéressait notamment aux mystères des tombeaux égyptiens, au yoga, à la philosophie indienne, à la psychanalyse et à la médecine alternative Si l'art et la science la passionnaient, elle vénérait la musique classique et la médecine... C'est d'ailleurs sous son impulsion que de nombreuses associations et événements verront le jour, dont le célèbre Concours Reine Elisabeth à Bruxelles. La reine avait de la suite dans les idées. Nul ne pouvait la faire changer d'avis... Ni le gouvernement ni même le roi. Elle s'est d'ailleurs opposée à nombre de personnalités. Officiellement, elle était catholique. Mais dans la réalité, les règles, les interdits religieux et les rituels ne l'attiraient guère. Elisabeth était viscéralement pacifiste. Le communisme la séduisait. Ce n'est pas pour rien qu'on la surnommera " la grand-mère rouge ". Néanmoins, " la reine folle " croyait au rôle et à l'importance de la monarchie. A ses yeux, la seule possibilité d'améliorer le monde ne viendrait ni des partis politiques ni du prolétariat mais de la Maison Royale.
