Janseran (en réalité Jean Seran) : un auteur si injustement oublié que l'on a failli traiter cette réédition comme celle d'un anonyme. Une longue enquête a prouvé qu'il n'en était rien. Loin d'être emprisonnées par leur cadre géo-historico-politique (le Sahara tunisien colonial), ces nouvelles acquièrent une dimension universelle, sur la solitude humaine et ses angoisses, sans perdre pour autant leur épaisseur informative, historiquement située.
Le lecteur y trouvera donc ainsi un plaisir esthétique littéraire et la peinture d'un espace à la fois réaliste et imaginaire, avec ses acteurs : les Compagnies sahariennes des méharistes français du début du XXe siècle.
« Le Sahara ne se lassera jamais de dérouter et de punir ceux qui nourrissent la prétention d'avoir pénétré en conquérants dans son grand vide mystérieux. »
Janseran, « Perdu », Campagne simple
« Comment un militaire, avec une telle ascension professionnelle, peut-il transcrire avec autant de finesse et d'émotions ses aventures.
Le lecteur est transporté dans ce décor avec tellement d'aisance que même les personnages nous paraissent familiers. »
Véronique Séran
Janseran (en réalité Jean Seran) : un auteur si injustement oublié que l'on a failli traiter cette réédition comme celle d'un anonyme. Une longue enquête a prouvé qu'il n'en était rien. Loin d'être emprisonnées par leur cadre géo-historico-politique (le Sahara tunisien colonial), ces nouvelles acquièrent une dimension universelle, sur la solitude humaine et ses angoisses, sans perdre pour autant leur épaisseur informative, historiquement située.
Le lecteur y trouvera donc ainsi un plaisir esthétique littéraire et la peinture d'un espace à la fois réaliste et imaginaire, avec ses acteurs : les Compagnies sahariennes des méharistes français du début du XXe siècle.
« Le Sahara ne se lassera jamais de dérouter et de punir ceux qui nourrissent la prétention d'avoir pénétré en conquérants dans son grand vide mystérieux. »
Janseran, « Perdu », Campagne simple
« Comment un militaire, avec une telle ascension professionnelle, peut-il transcrire avec autant de finesse et d'émotions ses aventures.
Le lecteur est transporté dans ce décor avec tellement d'aisance que même les personnages nous paraissent familiers. »
Véronique Séran