Le sentiment national dans l'Europe méridionale au XVIe et XVIIe siècles (France, Espagne, Italie)

Par : Alain Tallon

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  • Nombre de pages367
  • PrésentationBroché
  • Poids0.8 kg
  • Dimensions17,0 cm × 24,5 cm × 2,5 cm
  • ISBN978-84-95555-93-9
  • EAN9788495555939
  • Date de parution05/04/2007
  • CollectionCasa de Velazquez
  • ÉditeurCasa de Velazquez

Résumé

Si le premier âge moderne a connu l'idée de nation, il n'y a pas mis les mêmes significations que celles qui allaient émerger au XVIIIe siècle et s'imposer après la Révolution française. Aux XVIe et XVIIe siècles, l'appartenance nationale n'est ni exclusive ni dominante, mais elle n'en reste pas moins l'objet d'un intense processus de création culturelle. Ce processus, tout comme les pratiques sociales liées à ce sentiment identitaire, n'est pas nécessairement lié à une structure politique et n'a rien de linéaire, comme le montre la confrontation des expériences vécues.
Les situations politiques radicalement différentes des trois pays concernés conditionnent la diversité des questionnements historiographiques. Leur lien partagé et souvent conflictuel au passé romain, leurs intenses relations culturelles, leurs rivalités politiques et dynastiques et leur commune adhésion au catholicisme ont créé des interactions et des dynamiques dont cet ouvrage rend compte.
Si le premier âge moderne a connu l'idée de nation, il n'y a pas mis les mêmes significations que celles qui allaient émerger au XVIIIe siècle et s'imposer après la Révolution française. Aux XVIe et XVIIe siècles, l'appartenance nationale n'est ni exclusive ni dominante, mais elle n'en reste pas moins l'objet d'un intense processus de création culturelle. Ce processus, tout comme les pratiques sociales liées à ce sentiment identitaire, n'est pas nécessairement lié à une structure politique et n'a rien de linéaire, comme le montre la confrontation des expériences vécues.
Les situations politiques radicalement différentes des trois pays concernés conditionnent la diversité des questionnements historiographiques. Leur lien partagé et souvent conflictuel au passé romain, leurs intenses relations culturelles, leurs rivalités politiques et dynastiques et leur commune adhésion au catholicisme ont créé des interactions et des dynamiques dont cet ouvrage rend compte.
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