La gestion de l'érosion des côtes : l'exemple aquitain

Par : Christine Clus-Auby

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  • Nombre de pages256
  • PrésentationBroché
  • Poids0.475 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN2-86781-292-5
  • EAN9782867812927
  • Date de parution01/02/2003
  • Collectionscieteren
  • ÉditeurPU Bordeaux

Résumé

7O % des côtes de la planète sont soumises à l'érosion. En France, les mesures récoltées depuis plus de deux siècles montrent que la vitesse du recul est de un à deux mètres par an en moyenne. Tous les spécialistes s'accordent pour dire que ce phénomène n'est pas près de s'inverser : les côtes vont continuer à reculer, c'est maintenant une certitude ; les données les plus récentes soulignent même une accélération de l'érosion. Peut-on réellement résister à un phénomène d'une telle ampleur ? Peut-on, doit-on défendre tel ou tel front de mer menacé ? Si oui, comment le défendre ? Qui financera la protection ? Peut-on, à l'inverse, accepter la disparition d'ici à la fin du siècle, de bandes de terrain de 100 ou 200 mètres de profondeur, avec les bâtiments qu'elles supportent ? C'est à ces questions très concrètes que doivent répondre les responsables publics. A travers l'exemple du littoral dunaire aquitain, espace modelé par l'homme au siècle dernier et perçu aujourd'hui comme l'une des côtes les plus sauvages de l'hexagone, l'auteur montre les pistes qui se dessinent pour gérer le recul inéluctable du rivage.
7O % des côtes de la planète sont soumises à l'érosion. En France, les mesures récoltées depuis plus de deux siècles montrent que la vitesse du recul est de un à deux mètres par an en moyenne. Tous les spécialistes s'accordent pour dire que ce phénomène n'est pas près de s'inverser : les côtes vont continuer à reculer, c'est maintenant une certitude ; les données les plus récentes soulignent même une accélération de l'érosion. Peut-on réellement résister à un phénomène d'une telle ampleur ? Peut-on, doit-on défendre tel ou tel front de mer menacé ? Si oui, comment le défendre ? Qui financera la protection ? Peut-on, à l'inverse, accepter la disparition d'ici à la fin du siècle, de bandes de terrain de 100 ou 200 mètres de profondeur, avec les bâtiments qu'elles supportent ? C'est à ces questions très concrètes que doivent répondre les responsables publics. A travers l'exemple du littoral dunaire aquitain, espace modelé par l'homme au siècle dernier et perçu aujourd'hui comme l'une des côtes les plus sauvages de l'hexagone, l'auteur montre les pistes qui se dessinent pour gérer le recul inéluctable du rivage.