La littérature : réserve de sens, ouverture de possibles

Par : Jean Florence, Marie-France Renard
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  • Nombre de pages131
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.3 kg
  • Dimensions16,0 cm × 23,0 cm × 0,8 cm
  • ISBN2-8028-0131-7
  • EAN9782802801313
  • Date de parution01/01/2000
  • CollectionCollection générale
  • ÉditeurFU Saint-Louis

Résumé

Chaque auteur témoigne dans une langue originale et personnelle, de ce qui constitue le vif de son interrogation actuelle sur la littéraire : réserve de sens, ouverture de possibles. La singularité la plus rigoureuse du point de vue permet de toucher des dimensions fondamentales de la littérature : le paradoxe de l'engagement politique de l'écrivain, plus radical encore lorsqu'il se voue au travail de fiction (P.
Mertens) ; la structure auto réflexive du texte johannique (M. Fessler) ; la quête de l'identité à travers les vicissitudes du mythe moderne de Faust (F. Mies) ; les potentialités nouvelles de l'écriture dramatique quand elle se risque au-delà de la fable (J. -P. Sarrazac) ; l'absolu poétique et l'émergence du sens (G. Thinès) ; la naissance du lecteur (P. Tison) et enfin une interrogation critique sur le mode de lecture que requiert l'enseignement de la littérature (G.
Legros).
Chaque auteur témoigne dans une langue originale et personnelle, de ce qui constitue le vif de son interrogation actuelle sur la littéraire : réserve de sens, ouverture de possibles. La singularité la plus rigoureuse du point de vue permet de toucher des dimensions fondamentales de la littérature : le paradoxe de l'engagement politique de l'écrivain, plus radical encore lorsqu'il se voue au travail de fiction (P.
Mertens) ; la structure auto réflexive du texte johannique (M. Fessler) ; la quête de l'identité à travers les vicissitudes du mythe moderne de Faust (F. Mies) ; les potentialités nouvelles de l'écriture dramatique quand elle se risque au-delà de la fable (J. -P. Sarrazac) ; l'absolu poétique et l'émergence du sens (G. Thinès) ; la naissance du lecteur (P. Tison) et enfin une interrogation critique sur le mode de lecture que requiert l'enseignement de la littérature (G.
Legros).