Les enfants de l'ombre. La vie quotidienne des jeunes détenus au XXe siècle en France métropolitaine
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- Nombre de pages356
- PrésentationBroché
- Poids0.59 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,4 cm
- ISBN978-2-7535-0465-3
- EAN9782753504653
- Date de parution03/01/2007
- CollectionHistoire
- ÉditeurPU Rennes
Résumé
On a pu penser que de la fondation de la première colonie agricole pénitentiaire à Mettray, en 1839, à la Libération, les mineurs délinquants étaient détenus dans ces rurales "maisons de correction" qui leurs étaient spécifiquement réservées. A la Libération, l'ordonnance du 2 février 1945 relative à l'enfance délinquante aurait permis de remplacer ces "bagnes d'enfants" par des structures véritablement éducatives gérées par l'éducation surveillée, cette nouvelle direction du ministère de la Justice créée spécialement pour cette tâche.
Or, en France, la prison "ordinaire", parfois dissimulée sous une appellation trompeuse, a toujours joué un rôle déterminant dans la prise en charge des mineurs délinquants. En consacrant son travail de thèse à l'incarcération des enfants et des adolescents au XXe siècle, Elise Yvorel éclaire d'un jour nouveau, non seulement l'histoire de la justice pénale des mineurs, mais plus largement l'histoire des rapports que la société française entretient avec la fraction la plus fragile de sa jeunesse.
L'auteure se livre notamment à une analyse fine, méticuleuse, détaillée de la vie quotidienne car c'est bien dans le fonctionnement effectif de la prison que se mesurent les évolutions et les pesanteurs de l'institution carcérale. Grâce à ce livre, ces enfants que l'on ne voulait pas voir, commencent à sortir de l'ombre.
Or, en France, la prison "ordinaire", parfois dissimulée sous une appellation trompeuse, a toujours joué un rôle déterminant dans la prise en charge des mineurs délinquants. En consacrant son travail de thèse à l'incarcération des enfants et des adolescents au XXe siècle, Elise Yvorel éclaire d'un jour nouveau, non seulement l'histoire de la justice pénale des mineurs, mais plus largement l'histoire des rapports que la société française entretient avec la fraction la plus fragile de sa jeunesse.
L'auteure se livre notamment à une analyse fine, méticuleuse, détaillée de la vie quotidienne car c'est bien dans le fonctionnement effectif de la prison que se mesurent les évolutions et les pesanteurs de l'institution carcérale. Grâce à ce livre, ces enfants que l'on ne voulait pas voir, commencent à sortir de l'ombre.
On a pu penser que de la fondation de la première colonie agricole pénitentiaire à Mettray, en 1839, à la Libération, les mineurs délinquants étaient détenus dans ces rurales "maisons de correction" qui leurs étaient spécifiquement réservées. A la Libération, l'ordonnance du 2 février 1945 relative à l'enfance délinquante aurait permis de remplacer ces "bagnes d'enfants" par des structures véritablement éducatives gérées par l'éducation surveillée, cette nouvelle direction du ministère de la Justice créée spécialement pour cette tâche.
Or, en France, la prison "ordinaire", parfois dissimulée sous une appellation trompeuse, a toujours joué un rôle déterminant dans la prise en charge des mineurs délinquants. En consacrant son travail de thèse à l'incarcération des enfants et des adolescents au XXe siècle, Elise Yvorel éclaire d'un jour nouveau, non seulement l'histoire de la justice pénale des mineurs, mais plus largement l'histoire des rapports que la société française entretient avec la fraction la plus fragile de sa jeunesse.
L'auteure se livre notamment à une analyse fine, méticuleuse, détaillée de la vie quotidienne car c'est bien dans le fonctionnement effectif de la prison que se mesurent les évolutions et les pesanteurs de l'institution carcérale. Grâce à ce livre, ces enfants que l'on ne voulait pas voir, commencent à sortir de l'ombre.
Or, en France, la prison "ordinaire", parfois dissimulée sous une appellation trompeuse, a toujours joué un rôle déterminant dans la prise en charge des mineurs délinquants. En consacrant son travail de thèse à l'incarcération des enfants et des adolescents au XXe siècle, Elise Yvorel éclaire d'un jour nouveau, non seulement l'histoire de la justice pénale des mineurs, mais plus largement l'histoire des rapports que la société française entretient avec la fraction la plus fragile de sa jeunesse.
L'auteure se livre notamment à une analyse fine, méticuleuse, détaillée de la vie quotidienne car c'est bien dans le fonctionnement effectif de la prison que se mesurent les évolutions et les pesanteurs de l'institution carcérale. Grâce à ce livre, ces enfants que l'on ne voulait pas voir, commencent à sortir de l'ombre.