Le cinémascope entre art et industrie : Cinemascope between art and industry
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages367
- PrésentationRelié
- Poids1.185 kg
- Dimensions21,0 cm × 26,0 cm × 2,2 cm
- ISBN2-913758-83-5
- EAN9782913758834
- Date de parution01/01/2004
- ÉditeurAFRHC
- CompilateurJean-Jacques Meusy
Résumé
Trois quarts de siècle après l'invention par l'astronome Henri Chrétien de l'Hypergonar, pièce maîtresse du CinémaScope, et un demi-siècle après le lancement du procédé par la Twentieth Century Fox, il est intéressant de se pencher sur l'étonnante aventure de cette innovation et sur l'influence qu'elle a eue sur l'évolution du cinéma. Éric Rohmer, revenant en 2000 sur l'enthousiasme qui fut le sien lorsqu'il s'appelait encore Maurice Schérer, nous incite à revisiter cette page de l'histoire du cinéma qui n'est pas encore tournée. On constate en effet, depuis quelques années, un regain d'intérêt des producteurs et des réalisateurs pour les tournages avec des optiques anamorphiques, peut-être sous l'influence du 16/9 télévisuel. Il n'est pas jusqu'à certains tournages en technologie numérique qui n'aient recours à l'anamorphose. Cette réflexion sur le CinémaScope, engagée ici par une pléiade d'auteurs français et étrangers, permet aussi d'éclairer les interrogations fondamentales soulevées par le cinéma en général, notamment concernant les rapports du spectateur à l'image.
Trois quarts de siècle après l'invention par l'astronome Henri Chrétien de l'Hypergonar, pièce maîtresse du CinémaScope, et un demi-siècle après le lancement du procédé par la Twentieth Century Fox, il est intéressant de se pencher sur l'étonnante aventure de cette innovation et sur l'influence qu'elle a eue sur l'évolution du cinéma. Éric Rohmer, revenant en 2000 sur l'enthousiasme qui fut le sien lorsqu'il s'appelait encore Maurice Schérer, nous incite à revisiter cette page de l'histoire du cinéma qui n'est pas encore tournée. On constate en effet, depuis quelques années, un regain d'intérêt des producteurs et des réalisateurs pour les tournages avec des optiques anamorphiques, peut-être sous l'influence du 16/9 télévisuel. Il n'est pas jusqu'à certains tournages en technologie numérique qui n'aient recours à l'anamorphose. Cette réflexion sur le CinémaScope, engagée ici par une pléiade d'auteurs français et étrangers, permet aussi d'éclairer les interrogations fondamentales soulevées par le cinéma en général, notamment concernant les rapports du spectateur à l'image.