Awal N° 38, 2008
Le genre dans les littératures postocoloniales, Feraoun, Mammeri, Belamri. A propos des modes de transmission et de perpétuation de la culture
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- Nombre de pages205
- PrésentationBroché
- Poids0.345 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-7351-1255-5
- EAN9782735112555
- Date de parution10/09/2009
- ÉditeurMaison des Sciences de l'Homme
Résumé
Ce trente-huitième numéro d'Awal présente les actes de deux journées d'études consacrées aux rapports de genres dans les oeuvres de Mouloud Feraoun, Mouloud Mammeri et Rabah Belamri et qui se tinrent à l'Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS) les 17 novembre 2006 et 30 octobre 2007. Ces trois auteurs, de culture ou d'origine kabyles, ont proposé chacun une vision singulière des rapports entre hommes et femmes qui s'inscrit en faux contre bien des préjugés à l'égard de leur oeuvre, lesquels, hélas, persistent.
Cette dimension de leur oeuvre, à notre sens importante, méritait d'être approfondie. C'est donc un regard porté sur l'oeuvre littéraire de ces auteurs qui prévaut ici: certains classiques, tels Le Fils du pauvre ou La Colline oubliée, font l'objet d'une lecture innovante. Au regard des rapports de genres, encore trop peu abordés dans la critique littéraire maghrébine, l'oeuvre de nos trois écrivains affirme une étonnante actualité, une modernité indiscutable.
Leurs oeuvres littéraires corroborent les pouvoirs de la littérature lorsque celle-ci s'empare du champ social pour en offrir une perception juste, affinée, qui ne cède jamais à la facilité. Poésie et prose sont envisagées en ces pages, chacune dans sa spécificité, tout comme le Journal de Mouloud Feraoun, laboratoire infini d'observations des comportements humains. Lorsque la littérature révèle sa dimension sociale, lorsque l'anthropologie reçoit des éclairages de la création littéraire, des vérités se font jour, des certitudes vacillent.
C'est précisément ce à quoi les oeuvres de Mouloud Feraoun, Mouloud Mammeri, Rabah Belamri nous invitent: à ébranler notre prêt-à-penser.
Cette dimension de leur oeuvre, à notre sens importante, méritait d'être approfondie. C'est donc un regard porté sur l'oeuvre littéraire de ces auteurs qui prévaut ici: certains classiques, tels Le Fils du pauvre ou La Colline oubliée, font l'objet d'une lecture innovante. Au regard des rapports de genres, encore trop peu abordés dans la critique littéraire maghrébine, l'oeuvre de nos trois écrivains affirme une étonnante actualité, une modernité indiscutable.
Leurs oeuvres littéraires corroborent les pouvoirs de la littérature lorsque celle-ci s'empare du champ social pour en offrir une perception juste, affinée, qui ne cède jamais à la facilité. Poésie et prose sont envisagées en ces pages, chacune dans sa spécificité, tout comme le Journal de Mouloud Feraoun, laboratoire infini d'observations des comportements humains. Lorsque la littérature révèle sa dimension sociale, lorsque l'anthropologie reçoit des éclairages de la création littéraire, des vérités se font jour, des certitudes vacillent.
C'est précisément ce à quoi les oeuvres de Mouloud Feraoun, Mouloud Mammeri, Rabah Belamri nous invitent: à ébranler notre prêt-à-penser.
Ce trente-huitième numéro d'Awal présente les actes de deux journées d'études consacrées aux rapports de genres dans les oeuvres de Mouloud Feraoun, Mouloud Mammeri et Rabah Belamri et qui se tinrent à l'Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS) les 17 novembre 2006 et 30 octobre 2007. Ces trois auteurs, de culture ou d'origine kabyles, ont proposé chacun une vision singulière des rapports entre hommes et femmes qui s'inscrit en faux contre bien des préjugés à l'égard de leur oeuvre, lesquels, hélas, persistent.
Cette dimension de leur oeuvre, à notre sens importante, méritait d'être approfondie. C'est donc un regard porté sur l'oeuvre littéraire de ces auteurs qui prévaut ici: certains classiques, tels Le Fils du pauvre ou La Colline oubliée, font l'objet d'une lecture innovante. Au regard des rapports de genres, encore trop peu abordés dans la critique littéraire maghrébine, l'oeuvre de nos trois écrivains affirme une étonnante actualité, une modernité indiscutable.
Leurs oeuvres littéraires corroborent les pouvoirs de la littérature lorsque celle-ci s'empare du champ social pour en offrir une perception juste, affinée, qui ne cède jamais à la facilité. Poésie et prose sont envisagées en ces pages, chacune dans sa spécificité, tout comme le Journal de Mouloud Feraoun, laboratoire infini d'observations des comportements humains. Lorsque la littérature révèle sa dimension sociale, lorsque l'anthropologie reçoit des éclairages de la création littéraire, des vérités se font jour, des certitudes vacillent.
C'est précisément ce à quoi les oeuvres de Mouloud Feraoun, Mouloud Mammeri, Rabah Belamri nous invitent: à ébranler notre prêt-à-penser.
Cette dimension de leur oeuvre, à notre sens importante, méritait d'être approfondie. C'est donc un regard porté sur l'oeuvre littéraire de ces auteurs qui prévaut ici: certains classiques, tels Le Fils du pauvre ou La Colline oubliée, font l'objet d'une lecture innovante. Au regard des rapports de genres, encore trop peu abordés dans la critique littéraire maghrébine, l'oeuvre de nos trois écrivains affirme une étonnante actualité, une modernité indiscutable.
Leurs oeuvres littéraires corroborent les pouvoirs de la littérature lorsque celle-ci s'empare du champ social pour en offrir une perception juste, affinée, qui ne cède jamais à la facilité. Poésie et prose sont envisagées en ces pages, chacune dans sa spécificité, tout comme le Journal de Mouloud Feraoun, laboratoire infini d'observations des comportements humains. Lorsque la littérature révèle sa dimension sociale, lorsque l'anthropologie reçoit des éclairages de la création littéraire, des vérités se font jour, des certitudes vacillent.
C'est précisément ce à quoi les oeuvres de Mouloud Feraoun, Mouloud Mammeri, Rabah Belamri nous invitent: à ébranler notre prêt-à-penser.