Le Visiteur N° 22, mars 2017

Par : Karim Basbous
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  • Nombre de pages224
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.885 kg
  • Dimensions22,0 cm × 25,9 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-88474-775-2
  • EAN9782884747752
  • Date de parution30/03/2017
  • ÉditeurInfolio

Résumé

Le beau et le laid. Ces deux mots habitent notre quotidien, pour qualifier à peu près tout. Le monde bâti n'y a pas échappé : l'architecture a beaucoup eu affaire avec le beau, et, par opposition, avec le laid, bien que cette relation ait été moins explicitée. Les autres arts tels que la peinture, la musique, le cinéma, mais aussi la mode, ont-ils vécu les mêmes aventures avec ces notions à la fois savantes et communes? À quels savoirs, concepts ou principes s'adosse-t-on lorsqu'on use de ces adjectifs? Comment ces critères parviennent-ils à s'adapter aux œuvres bâties d'échelles variées, allant des jardins aux paysages, en passant par les villes et les quartiers? Ils traversent aussi l'architecture, de l'appartement au musée, du détail au plan.
Hors la beauté graphique, peut-on parler d'un beau plan ou d'une belle coupe? Par ailleurs, les objets demeurent, mais le regard que l'on porte sur eux évolue: l'histoire est riche de revirements par lesquels telle œuvre se voit déchue, tandis qu'une autre gagne peu à peu les faveurs du public; ce fut le cas notamment de la tour Eiffel et du Centre Pompidou, que l'on a appris à aimer.
Le beau et le laid. Ces deux mots habitent notre quotidien, pour qualifier à peu près tout. Le monde bâti n'y a pas échappé : l'architecture a beaucoup eu affaire avec le beau, et, par opposition, avec le laid, bien que cette relation ait été moins explicitée. Les autres arts tels que la peinture, la musique, le cinéma, mais aussi la mode, ont-ils vécu les mêmes aventures avec ces notions à la fois savantes et communes? À quels savoirs, concepts ou principes s'adosse-t-on lorsqu'on use de ces adjectifs? Comment ces critères parviennent-ils à s'adapter aux œuvres bâties d'échelles variées, allant des jardins aux paysages, en passant par les villes et les quartiers? Ils traversent aussi l'architecture, de l'appartement au musée, du détail au plan.
Hors la beauté graphique, peut-on parler d'un beau plan ou d'une belle coupe? Par ailleurs, les objets demeurent, mais le regard que l'on porte sur eux évolue: l'histoire est riche de revirements par lesquels telle œuvre se voit déchue, tandis qu'une autre gagne peu à peu les faveurs du public; ce fut le cas notamment de la tour Eiffel et du Centre Pompidou, que l'on a appris à aimer.