Gisèle Halimi estimait, au tournant du siècle, que le féminisme venait "seulement de commencer sa longue marche" et que "dans vingt ans, dans cent ans, il aura changé la vie" . C'est dire si sa vision reste d'actualité. D'autant que, sur la fin de vie, elle professait déjà qu'on "doit au moins avoir le droit de choisir de partir, de s'en aller comme on décide, quand on le décide" . Etre libre de choisir, c'est cette quête qu'elle laisse en héritage.
A retrouver dans ce double hors-série du 1 : les plumes de Karine Tuil, Marine Tondelier, Anne Bouillon...
Gisèle Halimi estimait, au tournant du siècle, que le féminisme venait "seulement de commencer sa longue marche" et que "dans vingt ans, dans cent ans, il aura changé la vie" . C'est dire si sa vision reste d'actualité. D'autant que, sur la fin de vie, elle professait déjà qu'on "doit au moins avoir le droit de choisir de partir, de s'en aller comme on décide, quand on le décide" . Etre libre de choisir, c'est cette quête qu'elle laisse en héritage.
A retrouver dans ce double hors-série du 1 : les plumes de Karine Tuil, Marine Tondelier, Anne Bouillon...