La hussarde N° 1, Septembre-octo
Il n'y a pas de femme artiste
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- Nombre de pages99
- PrésentationBroché
- Poids0.205 kg
- Dimensions14,8 cm × 21,0 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-919547-09-8
- EAN9782919547098
- Date de parution13/09/2012
- ÉditeurRue Fromentin Editions
Résumé
La Hussarde est une nouvelle revue féminine et féministe. Mais elle ne se réfère pas à Marie-Claire, Elle ou Simone de Beauvoir. Non, La Hussarde, comme son nom l’indique, cherche ses racines du côté des fameux écrivains Hussards des années 50 : Roger Nimier, Antoine Blondin et Jacques Laurent, pourtant peu connus pour leur féminisme. Elle partage avec eux un goût de la provocation, de l’ironie mais également un intérêt pour la culture et particulièrement, la littérature.
Avec panache, La Hussarde conjugue le frivole et le sérieux, sans jamais baisser la garde pour défendre ses points de vue iconoclastes. Le premier numéro clame : « Il n’y a pas de femmes artistes », pour finalement prouver le contraire avec brio.
Avec panache, La Hussarde conjugue le frivole et le sérieux, sans jamais baisser la garde pour défendre ses points de vue iconoclastes. Le premier numéro clame : « Il n’y a pas de femmes artistes », pour finalement prouver le contraire avec brio.
La Hussarde est une nouvelle revue féminine et féministe. Mais elle ne se réfère pas à Marie-Claire, Elle ou Simone de Beauvoir. Non, La Hussarde, comme son nom l’indique, cherche ses racines du côté des fameux écrivains Hussards des années 50 : Roger Nimier, Antoine Blondin et Jacques Laurent, pourtant peu connus pour leur féminisme. Elle partage avec eux un goût de la provocation, de l’ironie mais également un intérêt pour la culture et particulièrement, la littérature.
Avec panache, La Hussarde conjugue le frivole et le sérieux, sans jamais baisser la garde pour défendre ses points de vue iconoclastes. Le premier numéro clame : « Il n’y a pas de femmes artistes », pour finalement prouver le contraire avec brio.
Avec panache, La Hussarde conjugue le frivole et le sérieux, sans jamais baisser la garde pour défendre ses points de vue iconoclastes. Le premier numéro clame : « Il n’y a pas de femmes artistes », pour finalement prouver le contraire avec brio.