Connaissance des Pères de l'Eglise N° 80 Décembre 2000 : L'Epiphanie

Par : Anonyme

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  • Nombre de pages64
  • PrésentationBroché
  • Poids0.13 kg
  • Dimensions15,4 cm × 23,8 cm × 0,4 cm
  • ISBN3260050289924
  • EAN3260050289924
  • Date de parution01/12/2000
  • ÉditeurNouvelle Cité

Résumé

Le Jubilé de l'an 2000 nous invite à revisiter les écrits des Pères qui ont été les premiers à approfondir le mystère trinitaire, à mettre en évidence la divinité du Fils et de l'Esprit Saint, à les faire reconnaître lors des premiers Conciles oecuméniques, à exprimer le mystère trinitaire de manière toujours parlante pour aujourd'hui. Désormais, le Jubilé touche à son terme avec la fête de l'Epiphanie.
Mais cette fête, qui a été introduite à l'époque patristique, a été largement célébrée par les Pères. De plus, en manifestant le sens de l'Incarnation et du salut, elle ouvre sur un "Jubilé continué" , comme le dit Gilbert Kongs en un article inaugural, où il dégage le sens de la fête de l'Epiphanie. II reprend également les origines de cette fête, montrant qu'en Orient, c'est le Baptême du Christ qui est célébré à l'Epiphanie, alors qu'en Occident, c'est sa manifestation à tous les peuples.
Pierre Maraval explique, alors, à partir des écrits des Cappadociens que "Noël commémorait la naissance du Christ et son adoration par les bergers et par les mages, pendant que le 6 janvier était une fête commémorant le Baptême du Christ" , une fête de lumière. A partir des écrits des Pères syriaques, qui sont généralement peu connus, Colette Pasquet fait également ressortir que c'est le Baptême du Christ qui est célébré à l'Epiphanie.
Relisant cette fois les textes des Pères latins, en particulier ceux de S. Augustin et de S. Léon le Grand, je montre qu'il en va différemment en Occident, que l'accent est mis sur le salut apporté par le Christ. Voilà donc deux aspects complémentaires du mystère de l'Incarnation qui sont mis en évidence en Orient et en Occident. En un dernier article. Dom André Louf précise le motif de l'Incarnation et sa manifestation progressive au cours de l'économie du salut d'après S.
Isaac le Syrien, un auteur peu connu, mais qu'il contribue à faire connaître par sa récente traduction. Une fois n'est pas coutume. Nous avons introduit, dans ce numéro, beaucoup de recensions, les unes informant sur les traductions des oeuvres des Pères de l'Eglise en Espagne, les autres s'attachant aux livres consacrés à Jésus, au moment du Jubilé, sans oublier les nouveautés dans les études patristiques.
Marie-Anne Vannier
Le Jubilé de l'an 2000 nous invite à revisiter les écrits des Pères qui ont été les premiers à approfondir le mystère trinitaire, à mettre en évidence la divinité du Fils et de l'Esprit Saint, à les faire reconnaître lors des premiers Conciles oecuméniques, à exprimer le mystère trinitaire de manière toujours parlante pour aujourd'hui. Désormais, le Jubilé touche à son terme avec la fête de l'Epiphanie.
Mais cette fête, qui a été introduite à l'époque patristique, a été largement célébrée par les Pères. De plus, en manifestant le sens de l'Incarnation et du salut, elle ouvre sur un "Jubilé continué" , comme le dit Gilbert Kongs en un article inaugural, où il dégage le sens de la fête de l'Epiphanie. II reprend également les origines de cette fête, montrant qu'en Orient, c'est le Baptême du Christ qui est célébré à l'Epiphanie, alors qu'en Occident, c'est sa manifestation à tous les peuples.
Pierre Maraval explique, alors, à partir des écrits des Cappadociens que "Noël commémorait la naissance du Christ et son adoration par les bergers et par les mages, pendant que le 6 janvier était une fête commémorant le Baptême du Christ" , une fête de lumière. A partir des écrits des Pères syriaques, qui sont généralement peu connus, Colette Pasquet fait également ressortir que c'est le Baptême du Christ qui est célébré à l'Epiphanie.
Relisant cette fois les textes des Pères latins, en particulier ceux de S. Augustin et de S. Léon le Grand, je montre qu'il en va différemment en Occident, que l'accent est mis sur le salut apporté par le Christ. Voilà donc deux aspects complémentaires du mystère de l'Incarnation qui sont mis en évidence en Orient et en Occident. En un dernier article. Dom André Louf précise le motif de l'Incarnation et sa manifestation progressive au cours de l'économie du salut d'après S.
Isaac le Syrien, un auteur peu connu, mais qu'il contribue à faire connaître par sa récente traduction. Une fois n'est pas coutume. Nous avons introduit, dans ce numéro, beaucoup de recensions, les unes informant sur les traductions des oeuvres des Pères de l'Eglise en Espagne, les autres s'attachant aux livres consacrés à Jésus, au moment du Jubilé, sans oublier les nouveautés dans les études patristiques.
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