CinémAction N° 167
Violence, censure et cinéma

Par : Albert Montagne
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages155
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.25 kg
  • Dimensions15,5 cm × 23,5 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-84706-702-6
  • EAN9782847067026
  • Date de parution01/09/2018
  • ÉditeurCorlet Publications
  • PréfacierJacobo Rios Rodriguez

Résumé

La violence comme critère censorial, tant par les membres de la Commission de classification des oeuvres cinématographiques que par le ministre et le juge chargés du cinéma, est peu connue du grand public et des cinéphiles. Elle est pourtant partout : dans le quotidien, les écrans et les journaux, mais banalisée. Prenant sur la toile une nouvelle dimension (grande violence, très grande violence, incitation à la violence X), elle enfante dans la douleur (physique, mentale, verbale, visuelle) des censures, sur-censures et autocensures, et ses films sont emblématiques : Antichrist, Baise-moi, Irréversible, Kill List, Assassin(s)...
Violence et censure s'avèrent plurielles. Côté français, elles sont institutionnelles et juridictionnelles ; côté américain, se mêlent sexe, sang et dévoration des zombies, côté latino, amour et mort. Mais d'autres types de violence font aussi irruption physiques et symboliques dans les images du travail, de la vidéo-surveillance, sur les affiches comme dans les salles de cinéma.
La violence comme critère censorial, tant par les membres de la Commission de classification des oeuvres cinématographiques que par le ministre et le juge chargés du cinéma, est peu connue du grand public et des cinéphiles. Elle est pourtant partout : dans le quotidien, les écrans et les journaux, mais banalisée. Prenant sur la toile une nouvelle dimension (grande violence, très grande violence, incitation à la violence X), elle enfante dans la douleur (physique, mentale, verbale, visuelle) des censures, sur-censures et autocensures, et ses films sont emblématiques : Antichrist, Baise-moi, Irréversible, Kill List, Assassin(s)...
Violence et censure s'avèrent plurielles. Côté français, elles sont institutionnelles et juridictionnelles ; côté américain, se mêlent sexe, sang et dévoration des zombies, côté latino, amour et mort. Mais d'autres types de violence font aussi irruption physiques et symboliques dans les images du travail, de la vidéo-surveillance, sur les affiches comme dans les salles de cinéma.
Le mauvais genre au cinéma
Albert Montagne
E-book
12,99 €
Le mauvais genre au cinéma
Albert Montagne
E-book
12,99 €