CinémAction N° 154
De l'intime dans le cinéma anglophone

Par : Isabelle Schmitt-Pitiot, David Roche

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages200
  • PrésentationBroché
  • Poids0.31 kg
  • Dimensions15,5 cm × 23,5 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-84706-591-6
  • EAN9782847065916
  • Date de parution01/03/2015
  • ÉditeurCorlet Publications

Résumé

La notion d'intime, qui touche au secret des oeuvres et des êtres, n'est pas toujours associée au cinéma anglophone, en particulier aux productions hollywoodiennes caractérisées par une prédominance du récit peu propice aux scènes d'intimité. Cette tendance qui tient à la nature même du dispositif cinématographique et a fait son attrait dès les origines, ainsi que les contradictions entre exhibition et censure, révèlent cependant l'importance de cette question au sein de la production anglophone.
Si les documentaires, les archives familiales ou les films underground paraissent relever naturellement d'un cinéma de l'intime, les oeuvres de fiction, classiques ou contemporaines, d'Hitchcock à Woody Allen en passant par Eastwood ou Aronofsky, recèlent aussi un potentiel intime, de la représentation de l'intimité des personnages à leurs relations ou des relations entre film et spectateur.
La notion d'intime, qui touche au secret des oeuvres et des êtres, n'est pas toujours associée au cinéma anglophone, en particulier aux productions hollywoodiennes caractérisées par une prédominance du récit peu propice aux scènes d'intimité. Cette tendance qui tient à la nature même du dispositif cinématographique et a fait son attrait dès les origines, ainsi que les contradictions entre exhibition et censure, révèlent cependant l'importance de cette question au sein de la production anglophone.
Si les documentaires, les archives familiales ou les films underground paraissent relever naturellement d'un cinéma de l'intime, les oeuvres de fiction, classiques ou contemporaines, d'Hitchcock à Woody Allen en passant par Eastwood ou Aronofsky, recèlent aussi un potentiel intime, de la représentation de l'intimité des personnages à leurs relations ou des relations entre film et spectateur.