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Les premiers temps sont marqués par le martyre et la joie, avec son souffle lyrique, s'exprime particulièrement par les hagiographies : par ex dans la lettre écrite par les Smyrniotes au moment de la mort de Polycarpe où l'on fait le récit de son martyre. C'est durant la grande période des persécutions que l'on commencera vraiment à trouver mention de la joie comme dans les Odes de Salomon (IIe siècle).
On trouve aussi celui du Pseudo-Barnabé (probablement premier quart du 2e siècle) qui écrit à ses destinataires en les appelant "enfants d'allégresse ou encore "enfants de la dilection" (IX, 7).