Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Pourquoi les artistes russes aiment tant Monaco ? Sans aucun doute, le climat y contribue largement. Ils apprécient d'autant la Riviera qu'à Saint-Pétersbourg,...
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Résumé
Pourquoi les artistes russes aiment tant Monaco ? Sans aucun doute, le climat y contribue largement. Ils apprécient d'autant la Riviera qu'à Saint-Pétersbourg, sous la neige, ils subissent de plein fouet la rigueur de l'hiver avec ses - 25 °C et ses 18 heures de nuit. Une autre raison est évidemment la passion des Russes pour le jeu ; d'ailleurs le métier d'artiste n'est-il pas une sorte de jeu " de l'amour et du hasard " ? Ensuite, Monaco garde le secret d'une douceur de vivre mêlée à un élan artistique, mélange que les danseurs des Ballets russes ont été avides de découvrir en 1911. À la veille des festivités du troisième millénaire, les journaux du monde entier publièrent leur liste des personnalités les plus marquantes du XXe siècle. Parmi elles, Le Figaro cita douze grandes figures directement liées aux Ballets russes, les journaux allemands en citèrent quinze et les journaux russes, quatorze. De Picasso à Matisse, de Satie à Prokofiev, de Nijinski et Cocteau à Stravinski, d'Apollinaire à, bien entendu, Dali et Max Ernst. Toutes ces personnalités s'épanouirent dans les coulisses des Ballets russes. Mêlant l'amour à l'art, la musique et la danse, ils allaient traverser le siècle comme une flamboyante traînée de lumière, suscitant passion et émerveillement. Pour réussir dans les domaines artistiques il fallait être dans les Ballets russes... Mais pour réussir dans les Ballets russes, chaque printemps, il fallait être à Monaco.