Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
La plus célèbre des correspondances du siècle des Lumières, un document de premier ordre sur la société littéraire et " philosophique " de l'époque....
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La plus célèbre des correspondances du siècle des Lumières, un document de premier ordre sur la société littéraire et " philosophique " de l'époque. Mais aussi un bien curieux roman d'amour. Ce fut, comme disait Diderot lui-même qui rencontra en 1754 Louise-Henriette Volland rebaptisée Sophie, une " liaison douce ", une affaire de tête et d'estime plutôt qu'une passion charnelle. Peut-être parce que Mme Volland surveillait de très près sa fille ou parce que celle-ci aimait un peut trop sa sœur. " M'oubliez-vous dans les bras de votre sœur ? Madame, ménagez un peu votre santé, et songez que le plaisir aussi a sa fatigue ", écrit un jour Denis à Sophie. Et un autre : " Je ne permets votre bouche qu'à votre sœur. " Quoi qu'il en soit, la " liaison douce " dura autant que la vie des deux amants et " frère Platon ", comme disait Voltaire, mourut cinq mois après son Héloïse.