Zurbaràn

Par : Arsenio Moreno

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  • Nombre de pages149
  • PrésentationRelié
  • Poids1.305 kg
  • Dimensions25,6 cm × 28,7 cm × 2,2 cm
  • ISBN2-07-011622-0
  • EAN9782070116225
  • Date de parution23/10/1999
  • Collectionmaîtres de l'art
  • ÉditeurGallimard

Résumé

Le XVIIe siècle est sans aucun doute l'âge d'or de la peinture espagnole, tant par son importance quantitative que par son originalité. Cette époque, connue comme le Siècle d'Or, trouva en Francisco de Zurbarán (1598-1664) un de ses très grands maîtres. Sa carrière, commencée dans son pays natal, l'Estrémadure, a connu ses moments les plus créatifs à Séville. Elle s'acheva à Madrid, où la mort le surprit le 27 août 1664.
Peintre du monde monastique, il nous a laissé une cohorte de moines, de saints et de saintes qui représentent sans doute la partie la plus féconde et la plus inspirée de sa production. Au fil des années, son ténébrisme, qui caractérise le début de sa carrière de peintre, évolue peu à peu vers le clair-obscur, avant de parvenir à un traitement clair et nuancé des formes. Zurbarán a peint le monde comme il le voyait, fort de sa simplicité humaine, de sa connaissance profonde de la spiritualité monastique, portant un regard contemplatif sur les êtres et les choses.
Sa paix silencieuse, son naturalisme dépouillé, sa profonde spiritualité, ainsi que sa note très personnelle, nous touchent particulièrement et ils confèrent à son oeuvre une importance fondamentale et inégalée dans son siècle, en Espagne comme dans le reste de l'Europe.
Le XVIIe siècle est sans aucun doute l'âge d'or de la peinture espagnole, tant par son importance quantitative que par son originalité. Cette époque, connue comme le Siècle d'Or, trouva en Francisco de Zurbarán (1598-1664) un de ses très grands maîtres. Sa carrière, commencée dans son pays natal, l'Estrémadure, a connu ses moments les plus créatifs à Séville. Elle s'acheva à Madrid, où la mort le surprit le 27 août 1664.
Peintre du monde monastique, il nous a laissé une cohorte de moines, de saints et de saintes qui représentent sans doute la partie la plus féconde et la plus inspirée de sa production. Au fil des années, son ténébrisme, qui caractérise le début de sa carrière de peintre, évolue peu à peu vers le clair-obscur, avant de parvenir à un traitement clair et nuancé des formes. Zurbarán a peint le monde comme il le voyait, fort de sa simplicité humaine, de sa connaissance profonde de la spiritualité monastique, portant un regard contemplatif sur les êtres et les choses.
Sa paix silencieuse, son naturalisme dépouillé, sa profonde spiritualité, ainsi que sa note très personnelle, nous touchent particulièrement et ils confèrent à son oeuvre une importance fondamentale et inégalée dans son siècle, en Espagne comme dans le reste de l'Europe.