Zuhayra !. Quatre poèmes à sa fille sur la vieillesse et la mort
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- Nombre de pages76
- PrésentationBroché
- Poids0.088 kg
- Dimensions12,6 cm × 19,1 cm × 0,7 cm
- ISBN978-2-330-02707-0
- EAN9782330027070
- Date de parution08/01/2014
- CollectionPetite bibliothèque de Sindbad
- ÉditeurActes Sud/Sindbad
- TraducteurPierre Larcher
Résumé
Abû Kabîr Al-Hudhalî (VIe-VIIe siècles) est, avec Abû Dhu'ayb, le plus célèbre poète d'une tribu du Hedjaz, les Hudhayl. Son diwan ne comporte que ces quatre poèmes qui s'adressent tous à sa fille Zuhayra, à qui il livre une poignante méditation sur la vieillesse et la mort. S'ils commencent toujours par une description des affres du grand âge, chacun d'eux se prolonge par un thème particulier. La disparition prochaine du poète lui rappelle l'intrépide guerrier qu'il fût, en des scènes éblouissantes qui sont autant de symboles de la mort.
L'ensemble compose le tableau d'une Arabia infelix, fondamentalement tragique. On conçoit que cette poésie ait fasciné les poètes européens préromantiques - tel Goethe qui adapta dans le Westöstlicher Divan (1819) le célèbre "chant de vengeance" de Ta'abbata Sharran, dont l'histoire (ou la légende) est intimement liée à la tribu des Huchayl - ou romantiques, comme Victor Hugo qui, dans une note des Orientales (1829), donne vingt et un extraits de textes de poètes arabes archaïques, dont beaucoup de la tribu des Huchayl, que lui a fournis Ernest Fouinet.
L'ensemble compose le tableau d'une Arabia infelix, fondamentalement tragique. On conçoit que cette poésie ait fasciné les poètes européens préromantiques - tel Goethe qui adapta dans le Westöstlicher Divan (1819) le célèbre "chant de vengeance" de Ta'abbata Sharran, dont l'histoire (ou la légende) est intimement liée à la tribu des Huchayl - ou romantiques, comme Victor Hugo qui, dans une note des Orientales (1829), donne vingt et un extraits de textes de poètes arabes archaïques, dont beaucoup de la tribu des Huchayl, que lui a fournis Ernest Fouinet.
Abû Kabîr Al-Hudhalî (VIe-VIIe siècles) est, avec Abû Dhu'ayb, le plus célèbre poète d'une tribu du Hedjaz, les Hudhayl. Son diwan ne comporte que ces quatre poèmes qui s'adressent tous à sa fille Zuhayra, à qui il livre une poignante méditation sur la vieillesse et la mort. S'ils commencent toujours par une description des affres du grand âge, chacun d'eux se prolonge par un thème particulier. La disparition prochaine du poète lui rappelle l'intrépide guerrier qu'il fût, en des scènes éblouissantes qui sont autant de symboles de la mort.
L'ensemble compose le tableau d'une Arabia infelix, fondamentalement tragique. On conçoit que cette poésie ait fasciné les poètes européens préromantiques - tel Goethe qui adapta dans le Westöstlicher Divan (1819) le célèbre "chant de vengeance" de Ta'abbata Sharran, dont l'histoire (ou la légende) est intimement liée à la tribu des Huchayl - ou romantiques, comme Victor Hugo qui, dans une note des Orientales (1829), donne vingt et un extraits de textes de poètes arabes archaïques, dont beaucoup de la tribu des Huchayl, que lui a fournis Ernest Fouinet.
L'ensemble compose le tableau d'une Arabia infelix, fondamentalement tragique. On conçoit que cette poésie ait fasciné les poètes européens préromantiques - tel Goethe qui adapta dans le Westöstlicher Divan (1819) le célèbre "chant de vengeance" de Ta'abbata Sharran, dont l'histoire (ou la légende) est intimement liée à la tribu des Huchayl - ou romantiques, comme Victor Hugo qui, dans une note des Orientales (1829), donne vingt et un extraits de textes de poètes arabes archaïques, dont beaucoup de la tribu des Huchayl, que lui a fournis Ernest Fouinet.