Zola et l'affaire Dreyfus. L'histoire d'un double crime

Par : Jean-Paul Lefebvre-Filleau

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  • Nombre de pages189
  • PrésentationBroché
  • Poids0.275 kg
  • Dimensions14,0 cm × 23,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-84478-531-2
  • EAN9782844785312
  • Date de parution11/04/2007
  • ÉditeurCheminements/L'A part Editions

Résumé

J'accuse ! Qui n'a jamais entendu parler de ce texte de Zola qui parut dans le journal l'Aurore en 1898 ? Si les faits qui ont conduit Emile Zola à s'impliquer sont connus, quelles furent pour lui, toutes les conséquences de cette prise de position ? En 1894, un obscur officier de l'armée française, le capitaine Alfred Dreyfus, de confession israélite, fut condamné par un conseil de guerre à la déportation à vie au bagne de l'île du Diable, en Guyane, pour espionnage au profit de l'Allemagne. Mais cette affaire ne prit pas fin le jour du verdict des juges militaires. Elle a duré douze années au cours desquelles l'on n'a jamais vu, dans l'histoire judiciaire, tant d'incidents, d'épisodes et de rebondissements dramatiques, et d'intervenants (militaires, avocats, magistrats, experts, espions, ministres, diplomates, écrivains et jusqu'à un ancien chef de l'État). D'ailleurs, personne ne disait plus l'affaire Dreyfus, mais l'Affaire, la grande, la seule qui dressa les Français les uns contre les autres. Le pays frisa la guerre civile ! Convaincu de l'innocence de l'officier, Émile Zola dénonça cette erreur judiciaire dans sa fameuse lettre ouverte au président de la République, intitulée " J'accuse ". Dès lors, le célèbre écrivain, par cet " acte révolutionnaire d'une puissance incomparable ", selon les termes d'Anatole France, déchaîna contre sa personne la haine des extrémistes nationalistes antisémites, et ils étaient très nombreux à cette époque. Le pouvoir politique, lui-même, traîna Zola en justice et le condamna à l'emprisonnement. Il paya de sa vie son engagement pour la défense de Dreyfus, au nom des droits de l'homme, dans la nuit du 28 au 29 septembre 1902. Telle est la thèse développée ici par l'historien Jean-Paul Lefebvre-Filleau : un crime de forfaiture à l'encontre d'un brillant officier de l'armée française doublé d'un assassinat politique dont la victime fut l'un de nos plus illustres écrivains.
J'accuse ! Qui n'a jamais entendu parler de ce texte de Zola qui parut dans le journal l'Aurore en 1898 ? Si les faits qui ont conduit Emile Zola à s'impliquer sont connus, quelles furent pour lui, toutes les conséquences de cette prise de position ? En 1894, un obscur officier de l'armée française, le capitaine Alfred Dreyfus, de confession israélite, fut condamné par un conseil de guerre à la déportation à vie au bagne de l'île du Diable, en Guyane, pour espionnage au profit de l'Allemagne. Mais cette affaire ne prit pas fin le jour du verdict des juges militaires. Elle a duré douze années au cours desquelles l'on n'a jamais vu, dans l'histoire judiciaire, tant d'incidents, d'épisodes et de rebondissements dramatiques, et d'intervenants (militaires, avocats, magistrats, experts, espions, ministres, diplomates, écrivains et jusqu'à un ancien chef de l'État). D'ailleurs, personne ne disait plus l'affaire Dreyfus, mais l'Affaire, la grande, la seule qui dressa les Français les uns contre les autres. Le pays frisa la guerre civile ! Convaincu de l'innocence de l'officier, Émile Zola dénonça cette erreur judiciaire dans sa fameuse lettre ouverte au président de la République, intitulée " J'accuse ". Dès lors, le célèbre écrivain, par cet " acte révolutionnaire d'une puissance incomparable ", selon les termes d'Anatole France, déchaîna contre sa personne la haine des extrémistes nationalistes antisémites, et ils étaient très nombreux à cette époque. Le pouvoir politique, lui-même, traîna Zola en justice et le condamna à l'emprisonnement. Il paya de sa vie son engagement pour la défense de Dreyfus, au nom des droits de l'homme, dans la nuit du 28 au 29 septembre 1902. Telle est la thèse développée ici par l'historien Jean-Paul Lefebvre-Filleau : un crime de forfaiture à l'encontre d'un brillant officier de l'armée française doublé d'un assassinat politique dont la victime fut l'un de nos plus illustres écrivains.
Mystères en Normandie
Jean-Paul Lefebvre-Filleau
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