Yann Queffélec a disparu à l'été 2018 dans une ascension en montagne, sport de l'extrême qu'il pratiquait en virtuose des limites. Dans sa peinture, ce jeune artiste a aussi exploré des limites. Sur des formats parfois immenses, il représente, entre figuratif et abstrait, des rivages, des immensités traversées de nuages, des plages et des rochers, des lignes ondulantes de varechs échoués, des "parts" de ciel à contempler sans fin.
Son oeuvre connaît un succès immédiat, la nouveauté de son regard sur la mer est saluée par la critique. Il aborde aussi d'autres limites : l'espace et les météorites. Tantôt noire comme un Soulages ou blanche comme un Geneviève Asse, sa peinture moderne reste proche des éléments. On y retrouve l'esprit des îles, des dunes... et notamment celles des Glénan (Fouesnant-Les Glénan, 29) qu'il affectionnait tant.
Différents contributeurs, amis, galeristes, écrivains, proches écrivent ici sur le travail de l'artiste mais aussi sur l'homme (et le cinéaste documentariste) qu'il était.
Yann Queffélec a disparu à l'été 2018 dans une ascension en montagne, sport de l'extrême qu'il pratiquait en virtuose des limites. Dans sa peinture, ce jeune artiste a aussi exploré des limites. Sur des formats parfois immenses, il représente, entre figuratif et abstrait, des rivages, des immensités traversées de nuages, des plages et des rochers, des lignes ondulantes de varechs échoués, des "parts" de ciel à contempler sans fin.
Son oeuvre connaît un succès immédiat, la nouveauté de son regard sur la mer est saluée par la critique. Il aborde aussi d'autres limites : l'espace et les météorites. Tantôt noire comme un Soulages ou blanche comme un Geneviève Asse, sa peinture moderne reste proche des éléments. On y retrouve l'esprit des îles, des dunes... et notamment celles des Glénan (Fouesnant-Les Glénan, 29) qu'il affectionnait tant.
Différents contributeurs, amis, galeristes, écrivains, proches écrivent ici sur le travail de l'artiste mais aussi sur l'homme (et le cinéaste documentariste) qu'il était.