Voyage sentimental en musique arabo-andalouse

Par : Hadri Bougherara

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  • Nombre de pages171
  • PrésentationBroché
  • Poids0.205 kg
  • Dimensions13,0 cm × 21,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN2-84272-137-3
  • EAN9782842721374
  • Date de parution07/03/2002
  • CollectionDocuments, témoignages
  • ÉditeurParis-Méditerranée

Résumé

Au début des années trente, Mustapha, un enfant de la médina de Tlemcen, se sentant envahi par le génie du chant profane, cherche un maître pour l'initier à la musique andalouse. Il deviendra le Cheikh Mustapha Senoussi Bereksi, maître du tarab andalou des années cinquante à soixante-dix. Ainsi commence ce voyage sentimental : le parcours de Mustapha offre l'occasion de retracer l'histoire de ce patrimoine musical héritier de Cordoue et de Grenade, et d'en présenter l'épanouissement à Tlemcen avec des maîtres tels que Cheikh Larbi Ben Sari, Omar Bekhchi ou Laz'âr Ben Dali Yahia. Consacré " musique classique " par le Congrès de musique arabe du Caire en 1932, l'art du tara andalou, avec ses règles propres et ses instruments traditionnels, a connu de grands créateurs et de géniaux novateurs. En dépit des aléas de sa transmission, il demeure un art vivant, encore susceptible de renouvellement.
Au début des années trente, Mustapha, un enfant de la médina de Tlemcen, se sentant envahi par le génie du chant profane, cherche un maître pour l'initier à la musique andalouse. Il deviendra le Cheikh Mustapha Senoussi Bereksi, maître du tarab andalou des années cinquante à soixante-dix. Ainsi commence ce voyage sentimental : le parcours de Mustapha offre l'occasion de retracer l'histoire de ce patrimoine musical héritier de Cordoue et de Grenade, et d'en présenter l'épanouissement à Tlemcen avec des maîtres tels que Cheikh Larbi Ben Sari, Omar Bekhchi ou Laz'âr Ben Dali Yahia. Consacré " musique classique " par le Congrès de musique arabe du Caire en 1932, l'art du tara andalou, avec ses règles propres et ses instruments traditionnels, a connu de grands créateurs et de géniaux novateurs. En dépit des aléas de sa transmission, il demeure un art vivant, encore susceptible de renouvellement.