Voyage d'hiver

Par : Catherine Pégard, Céline Minard
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  • Nombre de pages103
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.374 kg
  • Dimensions16,4 cm × 24,1 cm × 1,1 cm
  • ISBN978-2-08-142276-6
  • EAN9782081422766
  • Date de parution15/11/2017
  • ÉditeurFlammarion

Résumé

Voyage d'hiver est une promenade poétique dans les jardins de Versailles, commencée alors qu'octobre nuance déjà la végétation de couleurs nouvelles. Dans ce qui est sans doute le plus grand musée de la statuaire en plein air, dix-sept artistes contemporains s'emparent des significations historiques ou mythologiques des lieux. Une dramaturgie conduit le visiteur d'un bosquet à l'autre, ces étranges salons végétaux, selon une progression émotionnelle calculée et un parcours tracé dont il convient de suivre l'ordre.
Sculpture, installation sonore, tableau, drapé, reflet, oxydation, glaciation sont quelques-unes des techniques utilisées pour transformer la flânerie de la visiteuse, du visiteur, en une expérience personnelle qui lui fasse traverser, par une accélération bizarre que seul l'art permet, les mutations de la nature, de la gloire de l'automne à la minéralisation orgueilleuse de l'hiver. C'est cette correspondance entre temps cosmique et temps humain que le titre souligne, puisque le voyage d'hiver rappelle évidemment la poignante méditation de Schubert sur ce thème.
Voyage d'hiver est une promenade poétique dans les jardins de Versailles, commencée alors qu'octobre nuance déjà la végétation de couleurs nouvelles. Dans ce qui est sans doute le plus grand musée de la statuaire en plein air, dix-sept artistes contemporains s'emparent des significations historiques ou mythologiques des lieux. Une dramaturgie conduit le visiteur d'un bosquet à l'autre, ces étranges salons végétaux, selon une progression émotionnelle calculée et un parcours tracé dont il convient de suivre l'ordre.
Sculpture, installation sonore, tableau, drapé, reflet, oxydation, glaciation sont quelques-unes des techniques utilisées pour transformer la flânerie de la visiteuse, du visiteur, en une expérience personnelle qui lui fasse traverser, par une accélération bizarre que seul l'art permet, les mutations de la nature, de la gloire de l'automne à la minéralisation orgueilleuse de l'hiver. C'est cette correspondance entre temps cosmique et temps humain que le titre souligne, puisque le voyage d'hiver rappelle évidemment la poignante méditation de Schubert sur ce thème.