Vivre à Saint-Mihiel pendant la Grande Guerre (1914-1918). D'après le témoignage de Maria Parisot
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- Nombre de pages182
- PrésentationBroché
- Poids0.224 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-343-17699-4
- EAN9782343176994
- Date de parution17/06/2019
- CollectionMémoires du XXe siècle
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
De septembre 1914 à septembre 1918, les habitants de Saint-Mihiel, ville de Lorraine, du moins ceux qui n'ont pas pu ou pas voulu partir, ont été exposés aux obus français mais aussi aux mesures vexatoires mises en place par les Allemands pendant ces quatre années d'occupation. Maria Parisot, originaire de la Meuse, membre d'une fratrie de dix enfants, a vécu les quatre années de la Grande Guerre enfermée dans Saint-Mihiel, avec sa soeur Virginie, subissant le feu incessant des bombardements et incendies, les difficultés de ravitaillement, les réquisitions, perquisitions...
Elle nous livre ici un témoignage court — du mois de mars 1917 au mois d'août 1918 — mais bouleversant, qui montre les conditions de vie des Sammiellois(es) qui ont souffert de la faim, du froid, de l'isolement et des bombardements incessants. Maria Parisot appartient à une famille dont le sort, pendant la Grande Guerre, est tout à fait emblématique des difficultés liées au conflit dans un des départements français les plus touchés par les combats.
Elle nous livre ici un témoignage court — du mois de mars 1917 au mois d'août 1918 — mais bouleversant, qui montre les conditions de vie des Sammiellois(es) qui ont souffert de la faim, du froid, de l'isolement et des bombardements incessants. Maria Parisot appartient à une famille dont le sort, pendant la Grande Guerre, est tout à fait emblématique des difficultés liées au conflit dans un des départements français les plus touchés par les combats.
De septembre 1914 à septembre 1918, les habitants de Saint-Mihiel, ville de Lorraine, du moins ceux qui n'ont pas pu ou pas voulu partir, ont été exposés aux obus français mais aussi aux mesures vexatoires mises en place par les Allemands pendant ces quatre années d'occupation. Maria Parisot, originaire de la Meuse, membre d'une fratrie de dix enfants, a vécu les quatre années de la Grande Guerre enfermée dans Saint-Mihiel, avec sa soeur Virginie, subissant le feu incessant des bombardements et incendies, les difficultés de ravitaillement, les réquisitions, perquisitions...
Elle nous livre ici un témoignage court — du mois de mars 1917 au mois d'août 1918 — mais bouleversant, qui montre les conditions de vie des Sammiellois(es) qui ont souffert de la faim, du froid, de l'isolement et des bombardements incessants. Maria Parisot appartient à une famille dont le sort, pendant la Grande Guerre, est tout à fait emblématique des difficultés liées au conflit dans un des départements français les plus touchés par les combats.
Elle nous livre ici un témoignage court — du mois de mars 1917 au mois d'août 1918 — mais bouleversant, qui montre les conditions de vie des Sammiellois(es) qui ont souffert de la faim, du froid, de l'isolement et des bombardements incessants. Maria Parisot appartient à une famille dont le sort, pendant la Grande Guerre, est tout à fait emblématique des difficultés liées au conflit dans un des départements français les plus touchés par les combats.