Viol, hypnose et justice. Une déroute judiciaire suisse

Par : Pierre Vassalli
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  • Nombre de pages160
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.282 kg
  • Dimensions15,0 cm × 22,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-8321-0793-5
  • EAN9782832107935
  • Date de parution15/02/2017
  • ÉditeurSlatkine (Editions)
  • PréfacierDick Marty

Résumé

Un viol exceptionnel. D'abord par l'audace, l'improvisation, la sauvagerie, la rapidité et la brutalité de son exécution. Puis par le très long silence qui a suivi, plusieurs années avant la plainte pénale, la victime ayant perdu le souvenir des traits de ses agresseurs. Suivie par une psychothérapeute ayant l'expérience de l'hypnose dans le traitement des traumatismes, la victime croit avoir retrouvé les traits de ses agresseurs assez clairement pour proposer à la police de faire des portraits-robots.
Tout va alors aller très vite. Deux inspecteurs y voient chacun une possible ressemblance avec une photo déjà vue, en font des planches photos, qui conduiront chacune à une identification directe sur line-up. Pour finir, les deux accusés, qui n'ont cessé de nier et n'ont aucun passé de violences sexuelles seront reconnus coupables de viol. Quinze mois plus tard, le Tribunal fédéral ordonne la libération des prisonniers, en raison des équivoques inhérentes à l'hypnose.
Cette décision fait évidemment voler en éclat la fiabilité de la victime et celle des enquêteurs. Ce n'est plus une erreur judiciaire, c'est de la schizophrénie.
Un viol exceptionnel. D'abord par l'audace, l'improvisation, la sauvagerie, la rapidité et la brutalité de son exécution. Puis par le très long silence qui a suivi, plusieurs années avant la plainte pénale, la victime ayant perdu le souvenir des traits de ses agresseurs. Suivie par une psychothérapeute ayant l'expérience de l'hypnose dans le traitement des traumatismes, la victime croit avoir retrouvé les traits de ses agresseurs assez clairement pour proposer à la police de faire des portraits-robots.
Tout va alors aller très vite. Deux inspecteurs y voient chacun une possible ressemblance avec une photo déjà vue, en font des planches photos, qui conduiront chacune à une identification directe sur line-up. Pour finir, les deux accusés, qui n'ont cessé de nier et n'ont aucun passé de violences sexuelles seront reconnus coupables de viol. Quinze mois plus tard, le Tribunal fédéral ordonne la libération des prisonniers, en raison des équivoques inhérentes à l'hypnose.
Cette décision fait évidemment voler en éclat la fiabilité de la victime et celle des enquêteurs. Ce n'est plus une erreur judiciaire, c'est de la schizophrénie.