VILLA EL SALVADOR.. La ville née du désert
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- Nombre de pages157
- PrésentationBroché
- Poids0.15 kg
- Dimensions11,5 cm × 20,0 cm × 1,3 cm
- ISBN2-7082-3366-1
- EAN9782708233669
- Date de parution14/04/1998
- Collectionles acteurs du developpement
- ÉditeurEditions de l'Atelier
Résumé
L'urbanisme de la planète et l'extension des villes produiront-elles toujours leur lot d'exclus errants ? Face à ce phénomène qui semble inéluctable, la colère de Péruviens sans-logis produit l'inespéré.
Fatigués d'attendre le feu vert des autorités, ils occupent le terrain promis : un désert. Dans la nuit, ils édifient des baraques en joncs, décidés à rester coûte que coûte. Leur détermination l'emporte sur l'armée.
Mais tout reste à faire. Il n'y a pas d'eau courante, les habitations précaires, isolées, sont à la merci des bandes armées. Rien, pourtant ne viendra à bout de l'enthousiasme et de la détermination des habitants, ni de leur solidarité.
Depuis 1971, malgré les violences politiques du Sentier lumineux qui secouent le pays, une ville émerge peu à peu des sables. Villa El Salvador est née du refus de la fatalité. Devenue exemplaire, la ville suscite l'intérêt et ses habitants nouent des relations dans le monde.
David Solon fait un récit captivant des fondateurs du désert. A travers des histoires singulières, le lecteur découvre les enjeux politiques et humains de l'urbanisation galopante.
L'urbanisme de la planète et l'extension des villes produiront-elles toujours leur lot d'exclus errants ? Face à ce phénomène qui semble inéluctable, la colère de Péruviens sans-logis produit l'inespéré.
Fatigués d'attendre le feu vert des autorités, ils occupent le terrain promis : un désert. Dans la nuit, ils édifient des baraques en joncs, décidés à rester coûte que coûte. Leur détermination l'emporte sur l'armée.
Mais tout reste à faire. Il n'y a pas d'eau courante, les habitations précaires, isolées, sont à la merci des bandes armées. Rien, pourtant ne viendra à bout de l'enthousiasme et de la détermination des habitants, ni de leur solidarité.
Depuis 1971, malgré les violences politiques du Sentier lumineux qui secouent le pays, une ville émerge peu à peu des sables. Villa El Salvador est née du refus de la fatalité. Devenue exemplaire, la ville suscite l'intérêt et ses habitants nouent des relations dans le monde.
David Solon fait un récit captivant des fondateurs du désert. A travers des histoires singulières, le lecteur découvre les enjeux politiques et humains de l'urbanisation galopante.