Verdun, le cinéma, l'événement
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- Nombre de pages543
- PrésentationBroché
- Poids0.71 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 2,8 cm
- ISBN978-2-36583-842-9
- EAN9782365838429
- Date de parution11/05/2016
- CollectionHistoire et cinéma
- ÉditeurNouveau Monde
- PréfacierJean-Pierre Bertin-Maghit
Résumé
Verdun, une " épreuve " ? Qui en douterait ! Le cinéma de cette bataille est né pendant l'affrontement de 1916, année des premières autorisations de tournage de l'Armée française sur le front. Les premières images animées de l'événement " Verdun " sont donc des films militaires. Dès 1917, le cinéma de fiction commercial prend le relais du Service Cinématographique de l'Armée. Avec Verdun tel que le poilu l'a vécu (1927), la bataille s'expose dans les récits filmés, mêlant archives et documents de fiction.
L'auteur met ainsi en avant la rencontre problématique entre " histoire privée et grande Histoire ". S'appuyant sur les travaux de Georges Duby, Paul Ricoeur ou Michel de Certeau, il fait la lumière sur les productions filmiques qui ont convoqué la guerre. Les années 1930 donnent l'occasion au cinéma de témoigner de la bataille (La Grande Illusion). Si, dans la seconde moitié du XXe siècle, Verdun semble avoir déserté le champ mémoriel et l'écran de cinéma, son incessante résurrection ne comble pas toutes les tranchées de la mémoire.
L'auteur met ainsi en avant la rencontre problématique entre " histoire privée et grande Histoire ". S'appuyant sur les travaux de Georges Duby, Paul Ricoeur ou Michel de Certeau, il fait la lumière sur les productions filmiques qui ont convoqué la guerre. Les années 1930 donnent l'occasion au cinéma de témoigner de la bataille (La Grande Illusion). Si, dans la seconde moitié du XXe siècle, Verdun semble avoir déserté le champ mémoriel et l'écran de cinéma, son incessante résurrection ne comble pas toutes les tranchées de la mémoire.
Verdun, une " épreuve " ? Qui en douterait ! Le cinéma de cette bataille est né pendant l'affrontement de 1916, année des premières autorisations de tournage de l'Armée française sur le front. Les premières images animées de l'événement " Verdun " sont donc des films militaires. Dès 1917, le cinéma de fiction commercial prend le relais du Service Cinématographique de l'Armée. Avec Verdun tel que le poilu l'a vécu (1927), la bataille s'expose dans les récits filmés, mêlant archives et documents de fiction.
L'auteur met ainsi en avant la rencontre problématique entre " histoire privée et grande Histoire ". S'appuyant sur les travaux de Georges Duby, Paul Ricoeur ou Michel de Certeau, il fait la lumière sur les productions filmiques qui ont convoqué la guerre. Les années 1930 donnent l'occasion au cinéma de témoigner de la bataille (La Grande Illusion). Si, dans la seconde moitié du XXe siècle, Verdun semble avoir déserté le champ mémoriel et l'écran de cinéma, son incessante résurrection ne comble pas toutes les tranchées de la mémoire.
L'auteur met ainsi en avant la rencontre problématique entre " histoire privée et grande Histoire ". S'appuyant sur les travaux de Georges Duby, Paul Ricoeur ou Michel de Certeau, il fait la lumière sur les productions filmiques qui ont convoqué la guerre. Les années 1930 donnent l'occasion au cinéma de témoigner de la bataille (La Grande Illusion). Si, dans la seconde moitié du XXe siècle, Verdun semble avoir déserté le champ mémoriel et l'écran de cinéma, son incessante résurrection ne comble pas toutes les tranchées de la mémoire.