Verdun, le 18 mai 1916 sur la cote 304. Récit d'une journée ordinaire en enfer

Par : Vincent Herpin
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  • Nombre de pages82
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.316 kg
  • Dimensions21,0 cm × 29,5 cm × 0,5 cm
  • ISBN978-2-84673-346-5
  • EAN9782846733465
  • Date de parution16/01/2020
  • ÉditeurYsec Editions

Résumé

La bataille de Verdun commence le 21 février 1916 et va durer 300 jours et 300 nuits. Pas un jour, pas une nuit sans combats ou sans bombardement. Chaque journée est un supplice pour les combattants figés sur un front statique. Ceux-ci, soldats français ou soldats allemands, connaissent les mêmes privations, les mêmes souffrances, les mêmes horreurs, les mêmes peurs et les mêmes haines. Sur la colline sans nom, identifiée par son altitude, la journée du 18 mai 1916 ne compte ni parmi les plus calmes ni parmi les plus agitées.
Elle est marquée par des bombardements incessants et des assauts d'infanterie dans le cadre "d'opérations de détail". Avec cet écrit, l'auteur souhaite présenter un récit croisé des combattants permettant d'appréhender ces supplices communs et l'inanité des combats sur la cote 304, 24 heures durant. Le sacrifice de ces hommes ne peut rester vain et tous les soldats tués, allemands et français, méritent indistinctement un travail de mémoire.
La bataille de Verdun commence le 21 février 1916 et va durer 300 jours et 300 nuits. Pas un jour, pas une nuit sans combats ou sans bombardement. Chaque journée est un supplice pour les combattants figés sur un front statique. Ceux-ci, soldats français ou soldats allemands, connaissent les mêmes privations, les mêmes souffrances, les mêmes horreurs, les mêmes peurs et les mêmes haines. Sur la colline sans nom, identifiée par son altitude, la journée du 18 mai 1916 ne compte ni parmi les plus calmes ni parmi les plus agitées.
Elle est marquée par des bombardements incessants et des assauts d'infanterie dans le cadre "d'opérations de détail". Avec cet écrit, l'auteur souhaite présenter un récit croisé des combattants permettant d'appréhender ces supplices communs et l'inanité des combats sur la cote 304, 24 heures durant. Le sacrifice de ces hommes ne peut rester vain et tous les soldats tués, allemands et français, méritent indistinctement un travail de mémoire.