Venise au fil des palais
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- Nombre de pages194
- PrésentationBroché
- Poids0.89 kg
- Dimensions22,0 cm × 26,0 cm × 1,6 cm
- ISBN2-86746-426-9
- EAN9782867464263
- Date de parution05/10/2006
- Collectionart
- ÉditeurLiana Levi
- PréfacierAlexandre Melissinos
Résumé
A Venise il n'y a rien : ni pierre pour construire, ni terre pour faire des briques et des tuiles, ni bois pour les pieux, les poutres et les charpentes, ni fer pour les tirants et les grilles... Tout vient d'ailleurs. Pourtant, au fil des siècles, se sont construits ces palais, somptueux à l'envi, renouvelés sans cesse et
toujours vénitiens. Chacun d'eux est à la fois signe et moyen de richesse.
On lui consacre la fortune que l'on a bâtie à force de naviguer et de commercer. Et on y reçoit fastueusement pour conclure des affaires, passer des alliances... Chacun ici s'évertue à inventer pour surpasser l'autre, pour se surpasser soi-même. Et dans cette apothéose où Venise devient œuvre, les palais en sont l'ornement.
On lui consacre la fortune que l'on a bâtie à force de naviguer et de commercer. Et on y reçoit fastueusement pour conclure des affaires, passer des alliances... Chacun ici s'évertue à inventer pour surpasser l'autre, pour se surpasser soi-même. Et dans cette apothéose où Venise devient œuvre, les palais en sont l'ornement.
A Venise il n'y a rien : ni pierre pour construire, ni terre pour faire des briques et des tuiles, ni bois pour les pieux, les poutres et les charpentes, ni fer pour les tirants et les grilles... Tout vient d'ailleurs. Pourtant, au fil des siècles, se sont construits ces palais, somptueux à l'envi, renouvelés sans cesse et
toujours vénitiens. Chacun d'eux est à la fois signe et moyen de richesse.
On lui consacre la fortune que l'on a bâtie à force de naviguer et de commercer. Et on y reçoit fastueusement pour conclure des affaires, passer des alliances... Chacun ici s'évertue à inventer pour surpasser l'autre, pour se surpasser soi-même. Et dans cette apothéose où Venise devient œuvre, les palais en sont l'ornement.
On lui consacre la fortune que l'on a bâtie à force de naviguer et de commercer. Et on y reçoit fastueusement pour conclure des affaires, passer des alliances... Chacun ici s'évertue à inventer pour surpasser l'autre, pour se surpasser soi-même. Et dans cette apothéose où Venise devient œuvre, les palais en sont l'ornement.