Vanille Lauterre
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- Nombre de pages204
- PrésentationBroché
- Poids0.335 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,0 cm
- ISBN979-10-90004-03-0
- EAN9791090004030
- Date de parution07/03/2011
- CollectionNOUVELLES
- ÉditeurAssyelle
Résumé
Quand l'innocence n'est qu'apparence : La première scène se passe à Paris d'une part, sur une plage de l'autre. Quel fait étrange pour une première scène ! C'est qu'il s'agit d'une correspondance. A la vérité, c'est là toute l'histoire. Un jeune homme reçoit un premier message, auquel il répond de manière à en recevoir un second... et c'est le début d'un échange surréaliste. Des mots plus ou moins acceptables sont prononcés.
Il serait à la fois insensé et inutile de les répéter : l'auteur n'en a pas le souvenir exact. Des bribes de conversation lui restent et reviennent parfois chatouiller son oreille lorsqu'il ne pense à rien d'autre. L'auteur assure que ces mots n'ont rien d'extraordinaire, mais un écrivain peut-il décemment être cru ? Par ailleurs, les lecteurs se moquent bien des sous-entendus...
Il serait à la fois insensé et inutile de les répéter : l'auteur n'en a pas le souvenir exact. Des bribes de conversation lui restent et reviennent parfois chatouiller son oreille lorsqu'il ne pense à rien d'autre. L'auteur assure que ces mots n'ont rien d'extraordinaire, mais un écrivain peut-il décemment être cru ? Par ailleurs, les lecteurs se moquent bien des sous-entendus...
Quand l'innocence n'est qu'apparence : La première scène se passe à Paris d'une part, sur une plage de l'autre. Quel fait étrange pour une première scène ! C'est qu'il s'agit d'une correspondance. A la vérité, c'est là toute l'histoire. Un jeune homme reçoit un premier message, auquel il répond de manière à en recevoir un second... et c'est le début d'un échange surréaliste. Des mots plus ou moins acceptables sont prononcés.
Il serait à la fois insensé et inutile de les répéter : l'auteur n'en a pas le souvenir exact. Des bribes de conversation lui restent et reviennent parfois chatouiller son oreille lorsqu'il ne pense à rien d'autre. L'auteur assure que ces mots n'ont rien d'extraordinaire, mais un écrivain peut-il décemment être cru ? Par ailleurs, les lecteurs se moquent bien des sous-entendus...
Il serait à la fois insensé et inutile de les répéter : l'auteur n'en a pas le souvenir exact. Des bribes de conversation lui restent et reviennent parfois chatouiller son oreille lorsqu'il ne pense à rien d'autre. L'auteur assure que ces mots n'ont rien d'extraordinaire, mais un écrivain peut-il décemment être cru ? Par ailleurs, les lecteurs se moquent bien des sous-entendus...