Valenciennes : vallée de l'Escaut. Un site du Néolithique final

Par : Marianne Deckers, David Delassus

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  • Nombre de pages167
  • PrésentationBroché
  • Poids0.819 kg
  • Dimensions21,0 cm × 29,5 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-35404-016-1
  • EAN9782354040161
  • Date de parution24/11/2009
  • ÉditeurIllustria
  • PréfacierPhilippe Chambon

Résumé

Les fouilles archéologiques menées rue Jean Bernier ont permis, pour la première fois à Valenciennes, l'étude d'un site préhistorique daté du Néolithique final. Il y a 5000 ans, des hommes se sont installés sur le versant oriental de la vallée de l'Escaut, à proximité d'un bassin naturel parsemé d'îlots. Ils disposaient ainsi d'une réserve d'eau utile pour les activités domestiques et probablement pour la pêche.
La dépression a servi de lieu de vie comme le montrent les nombreux objets domestiques mis au jour lors de la fouille : fragments de poteries, outils en silex, en os ou en grès, déchets alimentaires... Mais ce site livra également aux archéologues l'exceptionnel témoignage de pratiques funéraires inconnues jusque-là, grâce à la découverte de nombreux ossements humains dispersés dans l'eau et de plusieurs squelettes retrouvés au sommet des îlots.
À ce jour, il s'agit des restes humains les plus anciens connus dans le Valenciennois.
Les fouilles archéologiques menées rue Jean Bernier ont permis, pour la première fois à Valenciennes, l'étude d'un site préhistorique daté du Néolithique final. Il y a 5000 ans, des hommes se sont installés sur le versant oriental de la vallée de l'Escaut, à proximité d'un bassin naturel parsemé d'îlots. Ils disposaient ainsi d'une réserve d'eau utile pour les activités domestiques et probablement pour la pêche.
La dépression a servi de lieu de vie comme le montrent les nombreux objets domestiques mis au jour lors de la fouille : fragments de poteries, outils en silex, en os ou en grès, déchets alimentaires... Mais ce site livra également aux archéologues l'exceptionnel témoignage de pratiques funéraires inconnues jusque-là, grâce à la découverte de nombreux ossements humains dispersés dans l'eau et de plusieurs squelettes retrouvés au sommet des îlots.
À ce jour, il s'agit des restes humains les plus anciens connus dans le Valenciennois.