Urgence absolue. Ultime combat pour la vie

Par : Véronique Rouette

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  • Nombre de pages251
  • PrésentationBroché
  • Poids0.415 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,8 cm
  • ISBN2-7117-7296-9
  • EAN9782711772964
  • Date de parution25/07/2006
  • CollectionEspace éthique
  • ÉditeurVuibert
  • PréfacierJean-Claude Ameisen

Résumé

Je me souviens d'un soir, des mots se détachent d'une page, surgissant de nulle part, se transforment en murmure, puis en cri. Un homme parle, il s'appelle Jean-Pierre Rouette, il est atteint d'une maladie mortelle pour laquelle il n'y a pas de traitement, il ne peut déjà plus marcher, il va mourir. Il demande l'accès, à titre compassionnel, à un traitement expérimental testé en Grande-Bretagne. C'est une tribune dans Le Monde : " Urgence absolue ". Aujourd'hui, deux ans ont passé. Je lis " Urgence absolue ", le livre de Véronique Rouette, et la même émotion remonte en moi. Urgence absolue est l'histoire d'une révolte, d'un combat et d'un voyage. Un voyage à travers l'indifférence, les regards qui se détournent, les silences ou les mots qui font mal, mais aussi un voyage à travers des îlots inattendus de chaleur humaine. Urgence absolue est l'histoire d'un refus. D'un refus du malheur, de la résignation, et de la fatalité. D'une volonté de regarder la vie en face, sans jamais baisser les bras ni déposer les armes. Dans une société comme la nôtre, qui ne sait pas, ou ne sait plus, accompagner en pleine lumière, à l'intérieur de la vie de tous les jours, ce livre dit qu'on peut choisir sa vie, librement, et la vivre jusqu'au bout, ensemble. Urgence absolue est un grand livre. Comme tous les grands livres, on ne peut pas le raconter. Parce qu'il est plus qu'un livre. Lisez-le. Il nous parle de nous. De ce " nous-même, derrière nous-même, caché " que cherchait Emily Dickinson, ce " nous-même " qui chaque jour nous surprend, nous effraie ou nous émerveille - toujours inachevé, toujours en train de naître. Il nous parle de nos espoirs, de nos rêves, de nos indifférences, de nos abandons. De notre certitude que la lumière de l'aube est déjà là au fond de la nuit la plus noire. De notre extraordinaire capacité à réinventer l'avenir. De notre commune humanité. Claude Ameisen
Je me souviens d'un soir, des mots se détachent d'une page, surgissant de nulle part, se transforment en murmure, puis en cri. Un homme parle, il s'appelle Jean-Pierre Rouette, il est atteint d'une maladie mortelle pour laquelle il n'y a pas de traitement, il ne peut déjà plus marcher, il va mourir. Il demande l'accès, à titre compassionnel, à un traitement expérimental testé en Grande-Bretagne. C'est une tribune dans Le Monde : " Urgence absolue ". Aujourd'hui, deux ans ont passé. Je lis " Urgence absolue ", le livre de Véronique Rouette, et la même émotion remonte en moi. Urgence absolue est l'histoire d'une révolte, d'un combat et d'un voyage. Un voyage à travers l'indifférence, les regards qui se détournent, les silences ou les mots qui font mal, mais aussi un voyage à travers des îlots inattendus de chaleur humaine. Urgence absolue est l'histoire d'un refus. D'un refus du malheur, de la résignation, et de la fatalité. D'une volonté de regarder la vie en face, sans jamais baisser les bras ni déposer les armes. Dans une société comme la nôtre, qui ne sait pas, ou ne sait plus, accompagner en pleine lumière, à l'intérieur de la vie de tous les jours, ce livre dit qu'on peut choisir sa vie, librement, et la vivre jusqu'au bout, ensemble. Urgence absolue est un grand livre. Comme tous les grands livres, on ne peut pas le raconter. Parce qu'il est plus qu'un livre. Lisez-le. Il nous parle de nous. De ce " nous-même, derrière nous-même, caché " que cherchait Emily Dickinson, ce " nous-même " qui chaque jour nous surprend, nous effraie ou nous émerveille - toujours inachevé, toujours en train de naître. Il nous parle de nos espoirs, de nos rêves, de nos indifférences, de nos abandons. De notre certitude que la lumière de l'aube est déjà là au fond de la nuit la plus noire. De notre extraordinaire capacité à réinventer l'avenir. De notre commune humanité. Claude Ameisen