Une puce a chanté. Poèmes d'une vie écourtée
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- Nombre de pages158
- PrésentationBroché
- Poids0.165 kg
- Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-36391-002-8
- EAN9782363910028
- Date de parution01/04/2011
- CollectionTerra incognita
- ÉditeurMare Nostrum
Résumé
Avoir quinze ans en 68, le plus bel âge de la vie ? Célébrés ou dénigrés, les événements de Mai 68 sont devenus un discours formaté qui ignore la part de drames individuels qu'ils ont provoqués au coeur d'une génération. Bruno Pfister était lycéen à Roanne en mai 1968.Il ne tarde pas à se porter en tête de la contestation passant à marches forcées de la trop molle social-démocratie au communisme bureaucratisé, puis aux divers avatars groupusculaires du gauchisme avant de rompre avec le discours révolutionnaire pour se lancer dans les premiers tâtonnements de l'écologie politique.
Et d'y connaître, à nouveau, la déception. Tandis que commence à fleurir le fructueux commerce soixante-huitard, il se sent de plus en plus isolé et dupé. Peau après peau, comme l'oignon que l'on pèle, c'est son être même qui tend à se réduire, à disparaître jusqu'à ce que cette perspective devienne un projet. Alors, le 1er mai 1979, quai de la Grave, à Marmande, au pont de la Garonne, il s'immole par le feu en nous laissant un cahier sur lequel, mois après mois, sous une forme poétique, il a transcrit son vertigineux voyage.
Et d'y connaître, à nouveau, la déception. Tandis que commence à fleurir le fructueux commerce soixante-huitard, il se sent de plus en plus isolé et dupé. Peau après peau, comme l'oignon que l'on pèle, c'est son être même qui tend à se réduire, à disparaître jusqu'à ce que cette perspective devienne un projet. Alors, le 1er mai 1979, quai de la Grave, à Marmande, au pont de la Garonne, il s'immole par le feu en nous laissant un cahier sur lequel, mois après mois, sous une forme poétique, il a transcrit son vertigineux voyage.
Avoir quinze ans en 68, le plus bel âge de la vie ? Célébrés ou dénigrés, les événements de Mai 68 sont devenus un discours formaté qui ignore la part de drames individuels qu'ils ont provoqués au coeur d'une génération. Bruno Pfister était lycéen à Roanne en mai 1968.Il ne tarde pas à se porter en tête de la contestation passant à marches forcées de la trop molle social-démocratie au communisme bureaucratisé, puis aux divers avatars groupusculaires du gauchisme avant de rompre avec le discours révolutionnaire pour se lancer dans les premiers tâtonnements de l'écologie politique.
Et d'y connaître, à nouveau, la déception. Tandis que commence à fleurir le fructueux commerce soixante-huitard, il se sent de plus en plus isolé et dupé. Peau après peau, comme l'oignon que l'on pèle, c'est son être même qui tend à se réduire, à disparaître jusqu'à ce que cette perspective devienne un projet. Alors, le 1er mai 1979, quai de la Grave, à Marmande, au pont de la Garonne, il s'immole par le feu en nous laissant un cahier sur lequel, mois après mois, sous une forme poétique, il a transcrit son vertigineux voyage.
Et d'y connaître, à nouveau, la déception. Tandis que commence à fleurir le fructueux commerce soixante-huitard, il se sent de plus en plus isolé et dupé. Peau après peau, comme l'oignon que l'on pèle, c'est son être même qui tend à se réduire, à disparaître jusqu'à ce que cette perspective devienne un projet. Alors, le 1er mai 1979, quai de la Grave, à Marmande, au pont de la Garonne, il s'immole par le feu en nous laissant un cahier sur lequel, mois après mois, sous une forme poétique, il a transcrit son vertigineux voyage.