Alors que l’enquête judiciaire relative à la mort du jeune Thomas à Crépol est toujours en cours, deux journalistes et une romancière ont décidé de se réapproprier ce drame et de le réinterpréter, à leur façon, dans un ouvrage dont la teneur repose sur des faits non avérés et donc purement fictifs, sortis tout droit de leur imagination. Il fallait oser le faire !
Après la mort tragique du jeune garçon, Marie-Thérèse Thoraval, maire de Romans-sur-Isère, a pris courageusement la parole pour décrire la réalité du terrain et parler des bandes de délinquants qui sévissent dans le quartier sensible de la Monnaie. En dépit des intimidations, des insultes et des menaces de mort dont elle est victime, elle continue à dénoncer et ose révéler au grand jour ce que d’autres pensent hélas tout bas ou semblent vouloir minimiser, voire excuser à l’instar des trois auteurs de ce livre : la violence insoutenable qui gangrène désormais l’ensemble de notre territoire, n’épargnant plus ni les villes moyennes, ni les bourgs de nos campagnes autrefois si tranquilles. Car enfin, est-il bien normal que des jeunes gens se rendent dans un bal, armés de couteaux ? Évidemment non ! C’est même intolérable !
Car le meurtre de Thomas est un fait de société et non pas un fait divers comme d’aucuns semblent le penser. Plusieurs jeunes gens présents sur les lieux le soir du drame ont nettement entendu les paroles « On est là pour tuer les Blancs », doit-on remettre en question leur témoignage ? Et pourquoi nier l’existence du racisme anti blanc ? Bien sûr qu’il existe, le racisme est universel et touche toutes les races dans le monde entier.
Était-il bien raisonnable d’écrire un tel livre alors que les enquêtes judiciaires et policières ne sont pas terminées ? Fallait-il rajouter autant d’indécence et d’irrespect face à la souffrance d’une famille endeuillée ? Ce livre n’aurait jamais dû être écrit : le silence est parfois plus sage que la parole !
Alors que l’enquête judiciaire relative à la mort du jeune Thomas à Crépol est toujours en cours, deux journalistes et une romancière ont décidé de se réapproprier ce drame et de le réinterpréter, à leur façon, dans un ouvrage dont la teneur repose sur des faits non avérés et donc purement fictifs, sortis tout droit de leur imagination. Il fallait oser le faire !
Après la mort tragique du jeune garçon, Marie-Thérèse Thoraval, maire de Romans-sur-Isère, a pris courageusement la parole pour décrire la réalité du terrain et parler des bandes de délinquants qui sévissent dans le quartier sensible de la Monnaie. En dépit des intimidations, des insultes et des menaces de mort dont elle est victime, elle continue à dénoncer et ose révéler au grand jour ce que d’autres pensent hélas tout bas ou semblent vouloir minimiser, voire excuser à l’instar des trois auteurs de ce livre : la violence insoutenable qui gangrène désormais l’ensemble de notre territoire, n’épargnant plus ni les villes moyennes, ni les bourgs de nos campagnes autrefois si tranquilles. Car enfin, est-il bien normal que des jeunes gens se rendent dans un bal, armés de couteaux ? Évidemment non ! C’est même intolérable !
Car le meurtre de Thomas est un fait de société et non pas un fait divers comme d’aucuns semblent le penser. Plusieurs jeunes gens présents sur les lieux le soir du drame ont nettement entendu les paroles « On est là pour tuer les Blancs », doit-on remettre en question leur témoignage ? Et pourquoi nier l’existence du racisme anti blanc ? Bien sûr qu’il existe, le racisme est universel et touche toutes les races dans le monde entier.
Était-il bien raisonnable d’écrire un tel livre alors que les enquêtes judiciaires et policières ne sont pas terminées ? Fallait-il rajouter autant d’indécence et d’irrespect face à la souffrance d’une famille endeuillée ? Ce livre n’aurait jamais dû être écrit : le silence est parfois plus sage que la parole !