Une histoire de la littérature innue

Par : Myriam St-Gelais
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  • Nombre de pages156
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.256 kg
  • Dimensions15,1 cm × 22,8 cm × 1,1 cm
  • ISBN978-2-923385-46-4
  • EAN9782923385464
  • Date de parution02/03/2023
  • CollectionIsberg
  • ÉditeurCoédition Imaginaire Nord/Instit...
  • PréfacierYvette Mollen

Résumé

L'essai de Myriam St-Gelais offre la première vue d'ensemble historique sur la littérature innue, des histoires orales du Nitassinan jusqu'aux oeuvres écrites d'An Antane Kapesh, de Naomi Fontaine, de Natasha Kanapé Fontaine, de Marie-Andrée Gill et, bien sûr, de Joséphine Bacon. Ce livre permet de comprendre les enjeux et de mieux saisir l'évolution historique d'un phénomène qui occupe aujourd'hui une large part de l'actualité littéraire.
Comme le rappelle la traductrice et experte de l'innu-aimun Yvette Mollen, qui signe la préface de l'ouvrage, les oeuvres de sa culture étaient d'abord orales et en innu-aimun. Ce n'est que lentement que la forme écrite s'est instaurée et avec elle, le français : "En innu, le mot littérature n'existe pas, il faut utiliser plusieurs mots innus pour traduire la définition française du mot" , écrit-elle.
Cette évolution littéraire écrite permet de découvrir le monde innu et témoigne aussi de la fragilité de la langue qui le porte et qui doit être protégée, enseignée et pratiquée : l'innu-aimun.
L'essai de Myriam St-Gelais offre la première vue d'ensemble historique sur la littérature innue, des histoires orales du Nitassinan jusqu'aux oeuvres écrites d'An Antane Kapesh, de Naomi Fontaine, de Natasha Kanapé Fontaine, de Marie-Andrée Gill et, bien sûr, de Joséphine Bacon. Ce livre permet de comprendre les enjeux et de mieux saisir l'évolution historique d'un phénomène qui occupe aujourd'hui une large part de l'actualité littéraire.
Comme le rappelle la traductrice et experte de l'innu-aimun Yvette Mollen, qui signe la préface de l'ouvrage, les oeuvres de sa culture étaient d'abord orales et en innu-aimun. Ce n'est que lentement que la forme écrite s'est instaurée et avec elle, le français : "En innu, le mot littérature n'existe pas, il faut utiliser plusieurs mots innus pour traduire la définition française du mot" , écrit-elle.
Cette évolution littéraire écrite permet de découvrir le monde innu et témoigne aussi de la fragilité de la langue qui le porte et qui doit être protégée, enseignée et pratiquée : l'innu-aimun.