Antonia Susan Byatt est une femme de lettres britannique née le 24 août 1936 à Sheffield, auteur de fictions, romans, contes et nouvelles, mais aussi d'une étude critique de l'uvre d'Iris Murdoch. Le milieu universitaire britannique, qu'elle a fréquenté de nombreuses années, d'abord comme étudiante ensuite comme enseignante, sert souvent de toile de fond à ses ouvrages. Douze de ses textes sont traduits en langue française, parmi lesquels "Possession" (1990), paru en 1993 chez Flammarion et adapté par la suite au cinéma. On peut également découvrir "Le sucre" (1989), "Des anges et des insectes" (1993), "Histoires pour Matisse" (1997), "Le djinn dans l'il du rossignol" (1999), "Petits contes noirs" (2006), "L'ombre du soleil" (2009) ou "Le livre des enfants" (2012).
Une femme qui siffle
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- Nombre de pages460
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.58 kg
- Dimensions15,0 cm × 24,0 cm × 3,0 cm
- ISBN2-08-068446-9
- EAN9782080684462
- Date de parution05/09/2003
- ÉditeurFlammarion
- TraducteurJean-Louis Chevalier
Résumé
Londres, 1968. Frederica, récemment divorcée, anime à la télévision un talk-show esthétiquement révolutionnaire. Autour d'elle les valeurs vacillent et les jeunes tournent le dos à l'ordre établi, lui préférant sciences occultes, thérapies de groupe et autres " anti-universités " anarchisantes. En marge de la révolution étudiante, une communauté fermée menée par un mystique aux allures de prophète propose une autre lecture du monde. Sur cette toile de fond A. S. Byatt bâtit un magnifique roman d'amour, de mort et de vie. Eblouissant par sa force poétique, Une femme qui siffle redéfinit les limites de la normalité tout en livrant une analyse corrosive des bouleversements sociaux et intellectuels qui secouent l'Angleterre de la fin des années 60. Après La Vierge dans le jardin, Nature morte et La Tour de Babel, Une femme qui siffle est le dernier volume d'une saga en quatre volets signée par la grande dame des lettres anglaises.
Londres, 1968. Frederica, récemment divorcée, anime à la télévision un talk-show esthétiquement révolutionnaire. Autour d'elle les valeurs vacillent et les jeunes tournent le dos à l'ordre établi, lui préférant sciences occultes, thérapies de groupe et autres " anti-universités " anarchisantes. En marge de la révolution étudiante, une communauté fermée menée par un mystique aux allures de prophète propose une autre lecture du monde. Sur cette toile de fond A. S. Byatt bâtit un magnifique roman d'amour, de mort et de vie. Eblouissant par sa force poétique, Une femme qui siffle redéfinit les limites de la normalité tout en livrant une analyse corrosive des bouleversements sociaux et intellectuels qui secouent l'Angleterre de la fin des années 60. Après La Vierge dans le jardin, Nature morte et La Tour de Babel, Une femme qui siffle est le dernier volume d'une saga en quatre volets signée par la grande dame des lettres anglaises.