Une critique anarchiste de la justification de la violence. Réponses aux écrits de Peter Gelderloos et des tendances autoritaires au sein du black bloc

Par : Désobéissances libertaires

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Nombre de pages144
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.14 kg
  • Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-35104-134-5
  • EAN9782351041345
  • Date de parution01/10/2019
  • ÉditeurAtelier de création libertaire

Résumé

Si nous reconnaissons le caractère dominateur et réactionnaire de la violence de l’Etat, il est alors tout à fait logique d’étendre cette critique à la violence en général. Même s’il y a une différence entre la violence de l’oppresseur et la violence des opprimé·e·s, malgré tout, la violence est en soi un phénomène qui possède sa propre dynamique autoritaire et anti-émancipatrice, quand bien même elle se manifeste comme une contre-violence des opprimé·e·s.
C’est pourquoi la critique radicale de la violence est toujours en même temps aussi une critique radicale de la domination et elle est par là ainsi une partie intégrante, absolument nécessaire, de la théorie et de la pratique anarchistes.
Si nous reconnaissons le caractère dominateur et réactionnaire de la violence de l’Etat, il est alors tout à fait logique d’étendre cette critique à la violence en général. Même s’il y a une différence entre la violence de l’oppresseur et la violence des opprimé·e·s, malgré tout, la violence est en soi un phénomène qui possède sa propre dynamique autoritaire et anti-émancipatrice, quand bien même elle se manifeste comme une contre-violence des opprimé·e·s.
C’est pourquoi la critique radicale de la violence est toujours en même temps aussi une critique radicale de la domination et elle est par là ainsi une partie intégrante, absolument nécessaire, de la théorie et de la pratique anarchistes.