1150 jours en enfer dans onze camps de la mort, ainsi que la disparition tragique de tous les miens m'ont marqué à jamais.
Soixante ans plus tard, sur les conseils de ma fille cadette Irène, je me suis enfin décidé à coucher sur le papier mon douloureux périple. Servi par une mémoire sans faille, mon but n'est pas d'apitoyer les lecteurs, mais surtout dans un monde en totale dérive - de les mettre en garde contre ce mal récurrent, la haine et l'esprit du mal. Henri Kichka.
1150 jours en enfer dans onze camps de la mort, ainsi que la disparition tragique de tous les miens m'ont marqué à jamais.
Soixante ans plus tard, sur les conseils de ma fille cadette Irène, je me suis enfin décidé à coucher sur le papier mon douloureux périple. Servi par une mémoire sans faille, mon but n'est pas d'apitoyer les lecteurs, mais surtout dans un monde en totale dérive - de les mettre en garde contre ce mal récurrent, la haine et l'esprit du mal. Henri Kichka.