Nicéphore Dieudonné SOGLO est ancien Premier Ministre (1990 -1991) et ancien Chef d'Etat (1991 -1996) de la République du Bénin. Il est également ancien Maire de la ville de Cotonou (2003 - 2015). C'est une personnalité essentielle de la vie publique béninoise et africaine, notamment des trente-quatre dernières années. Dans cet ouvrage autobiographique ' Un travail d'Hercule - Le Bénin après la faillite du PRPB ', Nicéphore D. SOGLO nous délivre dans un style très élégant et très direct de succulentes anecdotes. Aussi, nous éclaire-t-il, sans langue de bois ni fioritures, sur certaines affaires d'Etat sous son Administration ? Une réelle confession d'un ancien Premier Ministre, ancien Chef d'Etat et ancien Maire largement en avance sur sa génération à propos des relations entre la France et l'Afrique, la fameuse FrançAfrique.
Volume 1
Un travail d’hercule. Le Bénin après la faillite du PRPB
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- Nombre de pages326
- PrésentationBroché
- Poids0.5 kg
- Dimensions15,5 cm × 23,5 cm × 0,0 cm
- ISBN979-10-90131-20-0
- EAN9791090131200
- Date de parution09/01/2024
- CollectionCompétences des Continents Noi
- ÉditeurEDITIONS IBIDUN
Résumé
Nicéphore SOGLO est un observateur attentif de la scène politique africaine, qui a joué un rôle majeur dans la marche en avant du Bénin, son pays, depuis l'historique Conférence nationale souveraine, en passant par la Transition d'un Régime autocratique pour déboucher sur l'élection d'un premier Gouvernement d'une République Démocratique, ce qui en Afrique relevait un peu du miracle. Certes il n'existe pas un modèle de démocratie imposable à tous, l'équivalent d'un "prêt-à-porter démocratique" .
Mais les Béninois n'en restaient pas moins persuadés cependant que : ' si le courage, la dignité, la tolérance et l'esprit de responsabilité sont au rendez-vous, que la Conférence Nationale souveraine demeure le cadre approprié pour opérer des mutations décisives et pacifiques dans une société en quête d'un souffle nouveau'. C'était leur conviction profonde aux béninois. Car, la Conférence nationale souveraine restait à leurs yeux l'alternative aux affrontements meurtriers et à la guerre civile, et ils avaient raison...
Mais les Béninois n'en restaient pas moins persuadés cependant que : ' si le courage, la dignité, la tolérance et l'esprit de responsabilité sont au rendez-vous, que la Conférence Nationale souveraine demeure le cadre approprié pour opérer des mutations décisives et pacifiques dans une société en quête d'un souffle nouveau'. C'était leur conviction profonde aux béninois. Car, la Conférence nationale souveraine restait à leurs yeux l'alternative aux affrontements meurtriers et à la guerre civile, et ils avaient raison...
Nicéphore SOGLO est un observateur attentif de la scène politique africaine, qui a joué un rôle majeur dans la marche en avant du Bénin, son pays, depuis l'historique Conférence nationale souveraine, en passant par la Transition d'un Régime autocratique pour déboucher sur l'élection d'un premier Gouvernement d'une République Démocratique, ce qui en Afrique relevait un peu du miracle. Certes il n'existe pas un modèle de démocratie imposable à tous, l'équivalent d'un "prêt-à-porter démocratique" .
Mais les Béninois n'en restaient pas moins persuadés cependant que : ' si le courage, la dignité, la tolérance et l'esprit de responsabilité sont au rendez-vous, que la Conférence Nationale souveraine demeure le cadre approprié pour opérer des mutations décisives et pacifiques dans une société en quête d'un souffle nouveau'. C'était leur conviction profonde aux béninois. Car, la Conférence nationale souveraine restait à leurs yeux l'alternative aux affrontements meurtriers et à la guerre civile, et ils avaient raison...
Mais les Béninois n'en restaient pas moins persuadés cependant que : ' si le courage, la dignité, la tolérance et l'esprit de responsabilité sont au rendez-vous, que la Conférence Nationale souveraine demeure le cadre approprié pour opérer des mutations décisives et pacifiques dans une société en quête d'un souffle nouveau'. C'était leur conviction profonde aux béninois. Car, la Conférence nationale souveraine restait à leurs yeux l'alternative aux affrontements meurtriers et à la guerre civile, et ils avaient raison...