Un portrait de Gerbert d'Aurillac. Inventeur d'un abaque, utilisateur précoce des chiffres arabes, et pape de l'an mil
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- Nombre de pages132
- PrésentationBroché
- Poids0.329 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 0,9 cm
- ISBN978-2-88074-944-6
- EAN9782880749446
- Date de parution01/12/2011
- ÉditeurPPUR
Résumé
Gerbert d'Aurillac n'a pas été que le pape de l'an mil, sous le nom de Sylvestre II. Il a surtout été un enseignant de réputation internationale à Reims, au 10e siècle, à l'époque des rois de France Louis V et Hugues Capet. Homme de science avant la lettre, il a inventé des aides visuelles, et notamment des sphères, pour soutenir son enseignement de l'astronomie. Et il a surtout inventé un abaque - une planche pourvue de colonnes, sur laquelle il disposait des jetons - qui intéresse au plus haut point les historiens du calcul.
L'originalité de cet objet, bien plus complexe que les autres aides au calcul disponibles à l'époque, était de permettre la réalisation des divisions. Il était donc tentant pour l'auteur de dresser le portrait de ce scientifique, en insistant sur sa contribution dans le domaine des sciences naissantes, plutôt que de s'intéresser à l'archevêque de Reims puis de Ravenne, et pour finir au pape, que Gerbert a aussi été.
L'originalité de cet objet, bien plus complexe que les autres aides au calcul disponibles à l'époque, était de permettre la réalisation des divisions. Il était donc tentant pour l'auteur de dresser le portrait de ce scientifique, en insistant sur sa contribution dans le domaine des sciences naissantes, plutôt que de s'intéresser à l'archevêque de Reims puis de Ravenne, et pour finir au pape, que Gerbert a aussi été.
Gerbert d'Aurillac n'a pas été que le pape de l'an mil, sous le nom de Sylvestre II. Il a surtout été un enseignant de réputation internationale à Reims, au 10e siècle, à l'époque des rois de France Louis V et Hugues Capet. Homme de science avant la lettre, il a inventé des aides visuelles, et notamment des sphères, pour soutenir son enseignement de l'astronomie. Et il a surtout inventé un abaque - une planche pourvue de colonnes, sur laquelle il disposait des jetons - qui intéresse au plus haut point les historiens du calcul.
L'originalité de cet objet, bien plus complexe que les autres aides au calcul disponibles à l'époque, était de permettre la réalisation des divisions. Il était donc tentant pour l'auteur de dresser le portrait de ce scientifique, en insistant sur sa contribution dans le domaine des sciences naissantes, plutôt que de s'intéresser à l'archevêque de Reims puis de Ravenne, et pour finir au pape, que Gerbert a aussi été.
L'originalité de cet objet, bien plus complexe que les autres aides au calcul disponibles à l'époque, était de permettre la réalisation des divisions. Il était donc tentant pour l'auteur de dresser le portrait de ce scientifique, en insistant sur sa contribution dans le domaine des sciences naissantes, plutôt que de s'intéresser à l'archevêque de Reims puis de Ravenne, et pour finir au pape, que Gerbert a aussi été.