Un monastère dominicain au Moyen Age. Les débuts d'Unterlinden
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- Nombre de pages123
- PrésentationBroché
- Poids0.186 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,6 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-204-09809-0
- EAN9782204098090
- Date de parution07/02/2013
- CollectionL'histoire à vif
- ÉditeurCerf
Résumé
Unterlinden de Colmar : un monastère dominicain allemand du XIIIe siècle, dans les tout débuts de l'Ordre dominicain ; aujourd'hui, un des plus beaux musées de France. Dans ce monastère, fondé en 1232 dans une cité qui avait déjà une longue existence, les soeurs, même cloîtrées, vécurent et subirent les contre-coups de l'histoire de l'Alsace, parfois mouvementée et souvent violente. Qui étaient ces soeurs ? A quel âge entrait-on à Unterlinden ? Sur quoi la vie commune mettait-elle l'accent ? Comment s'exprimait leur foi ? Les Vitae sororum, un best-seller de l'époque écrit en latin par l'une d'elles, a servi de base à cette étude, et a permis de cerner ce qui les rend si proches et si profondément différentes de leurs soeurs du XXIe siècle.
Le latin, qui restera la langue liturgique, s'effaça devant le moyen haut allemand, la langue usuelle, dans laquelle les écrits de la mystique rhénane furent rédigés quelques décennies plus tard. Des frères érudits ayant permis à ces moniales de bénéficier d'une solide formation, elles purent ainsi entrer dans la mouvance de ce grand courant.
Le latin, qui restera la langue liturgique, s'effaça devant le moyen haut allemand, la langue usuelle, dans laquelle les écrits de la mystique rhénane furent rédigés quelques décennies plus tard. Des frères érudits ayant permis à ces moniales de bénéficier d'une solide formation, elles purent ainsi entrer dans la mouvance de ce grand courant.
Unterlinden de Colmar : un monastère dominicain allemand du XIIIe siècle, dans les tout débuts de l'Ordre dominicain ; aujourd'hui, un des plus beaux musées de France. Dans ce monastère, fondé en 1232 dans une cité qui avait déjà une longue existence, les soeurs, même cloîtrées, vécurent et subirent les contre-coups de l'histoire de l'Alsace, parfois mouvementée et souvent violente. Qui étaient ces soeurs ? A quel âge entrait-on à Unterlinden ? Sur quoi la vie commune mettait-elle l'accent ? Comment s'exprimait leur foi ? Les Vitae sororum, un best-seller de l'époque écrit en latin par l'une d'elles, a servi de base à cette étude, et a permis de cerner ce qui les rend si proches et si profondément différentes de leurs soeurs du XXIe siècle.
Le latin, qui restera la langue liturgique, s'effaça devant le moyen haut allemand, la langue usuelle, dans laquelle les écrits de la mystique rhénane furent rédigés quelques décennies plus tard. Des frères érudits ayant permis à ces moniales de bénéficier d'une solide formation, elles purent ainsi entrer dans la mouvance de ce grand courant.
Le latin, qui restera la langue liturgique, s'effaça devant le moyen haut allemand, la langue usuelle, dans laquelle les écrits de la mystique rhénane furent rédigés quelques décennies plus tard. Des frères érudits ayant permis à ces moniales de bénéficier d'une solide formation, elles purent ainsi entrer dans la mouvance de ce grand courant.