Un jour, tout ira bien

Par : Irina Tarassov-Villeret

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  • Nombre de pages327
  • PrésentationBroché
  • Poids0.445 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,3 cm
  • ISBN2-08-068891-X
  • EAN9782080688910
  • Date de parution16/09/2005
  • ÉditeurFlammarion

Résumé

En ce mois de juin 1978, Jacques et moi ne nous sommes pas engouffrés dans l'amour, non, cela aurait été bien trop banal pour chacun de nous, plutôt dans une passion dévastatrice, dévorante, consumante. De l'amour, nous en avions à revendre, moi parce que je pouvais restituer celui qu'on m'avait si bien donné, lui, parce qu'il avait ce manque au départ de sa vie, qu'il a toujours cherché compulsivement à combler. En signant le registre des mariages, je signais le bonheur de Jacques. Mon ambition était démesurée et un peu folle. Inséparables, nous faisions bloc. La réussite de Jacques Villeret, nous allions la mener ensemble, et gare à ceux qui lui feraient du mal. Voici le récit de notre parcours à deux, une vie pleine de joies, de surprises, de déceptions, de meurtrissures aussi. L'alcool est insidieux. On commence par l'apprécier, on prend vite l'habitude jusqu'à en dépendre puis en mourir. Venez près de moi que je vous raconte.
En ce mois de juin 1978, Jacques et moi ne nous sommes pas engouffrés dans l'amour, non, cela aurait été bien trop banal pour chacun de nous, plutôt dans une passion dévastatrice, dévorante, consumante. De l'amour, nous en avions à revendre, moi parce que je pouvais restituer celui qu'on m'avait si bien donné, lui, parce qu'il avait ce manque au départ de sa vie, qu'il a toujours cherché compulsivement à combler. En signant le registre des mariages, je signais le bonheur de Jacques. Mon ambition était démesurée et un peu folle. Inséparables, nous faisions bloc. La réussite de Jacques Villeret, nous allions la mener ensemble, et gare à ceux qui lui feraient du mal. Voici le récit de notre parcours à deux, une vie pleine de joies, de surprises, de déceptions, de meurtrissures aussi. L'alcool est insidieux. On commence par l'apprécier, on prend vite l'habitude jusqu'à en dépendre puis en mourir. Venez près de moi que je vous raconte.