Un homme nu dans une malle
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- Nombre de pages191
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.242 kg
- Dimensions13,5 cm × 23,0 cm × 1,6 cm
- ISBN979-10-96011-33-9
- EAN9791096011339
- Date de parution07/02/2019
- CollectionPolar
- ÉditeurL'éveilleur - Bordeaux
Résumé
"Qui a tué ? " s'inquiète chaque jour la presse... Qui a tué cet homme, riche rentier parisien, retrouvé nu dans une malle en gare de Nantes ? Titillé par ce mystère, Roubaud, grand reporter, se fait Rouletabille pour démêler ce qui ressemble à un casse-tête chinois. Car à mesure qu'apparaissent les témoins, les suspects se multiplient : du meilleur ami banquier à la maîtresse payée pour se taire, en passant par le domestique indochinois ou l'opiomane invétéré, ils ont tous de bonnes raisons d'avoir trucidé le gandin peu sympathique.
Mais ce qui intrigue par-dessus tout, c'est la singulière répétition, quatre jeudis durant, d'une scène en tous points identiques : la convocation d'un commissionnaire pour récupérer à la même adresse une malle qui, au bout du compte, ne part jamais... sauf le jour où elle contient un cadavre... A l'instar du grand Gaston Leroux, Louis Roubaud s'amuse à se mettre en scène dans une enquête à tiroirs en collant aux basques de policiers plutôt bonasses.
Il exploite une à une toutes les hypothèses avant de les dégonfler, souffle le chaud et le froid, se plaît à nous faire tourner en rond jusqu'à la scène finale, particulièrement astucieuse... Feuilleton à rebondissements où se mêlent les saveurs de l'opium, le fumet de la canaille et les troubles parfums des beaux quartiers, Un homme nu dans une malle, réédité pour la première fois, se devait de quitter la consigne où on l'avait oublié, pour le plus trouble plaisir des amateurs de mystère.
Mais ce qui intrigue par-dessus tout, c'est la singulière répétition, quatre jeudis durant, d'une scène en tous points identiques : la convocation d'un commissionnaire pour récupérer à la même adresse une malle qui, au bout du compte, ne part jamais... sauf le jour où elle contient un cadavre... A l'instar du grand Gaston Leroux, Louis Roubaud s'amuse à se mettre en scène dans une enquête à tiroirs en collant aux basques de policiers plutôt bonasses.
Il exploite une à une toutes les hypothèses avant de les dégonfler, souffle le chaud et le froid, se plaît à nous faire tourner en rond jusqu'à la scène finale, particulièrement astucieuse... Feuilleton à rebondissements où se mêlent les saveurs de l'opium, le fumet de la canaille et les troubles parfums des beaux quartiers, Un homme nu dans une malle, réédité pour la première fois, se devait de quitter la consigne où on l'avait oublié, pour le plus trouble plaisir des amateurs de mystère.
"Qui a tué ? " s'inquiète chaque jour la presse... Qui a tué cet homme, riche rentier parisien, retrouvé nu dans une malle en gare de Nantes ? Titillé par ce mystère, Roubaud, grand reporter, se fait Rouletabille pour démêler ce qui ressemble à un casse-tête chinois. Car à mesure qu'apparaissent les témoins, les suspects se multiplient : du meilleur ami banquier à la maîtresse payée pour se taire, en passant par le domestique indochinois ou l'opiomane invétéré, ils ont tous de bonnes raisons d'avoir trucidé le gandin peu sympathique.
Mais ce qui intrigue par-dessus tout, c'est la singulière répétition, quatre jeudis durant, d'une scène en tous points identiques : la convocation d'un commissionnaire pour récupérer à la même adresse une malle qui, au bout du compte, ne part jamais... sauf le jour où elle contient un cadavre... A l'instar du grand Gaston Leroux, Louis Roubaud s'amuse à se mettre en scène dans une enquête à tiroirs en collant aux basques de policiers plutôt bonasses.
Il exploite une à une toutes les hypothèses avant de les dégonfler, souffle le chaud et le froid, se plaît à nous faire tourner en rond jusqu'à la scène finale, particulièrement astucieuse... Feuilleton à rebondissements où se mêlent les saveurs de l'opium, le fumet de la canaille et les troubles parfums des beaux quartiers, Un homme nu dans une malle, réédité pour la première fois, se devait de quitter la consigne où on l'avait oublié, pour le plus trouble plaisir des amateurs de mystère.
Mais ce qui intrigue par-dessus tout, c'est la singulière répétition, quatre jeudis durant, d'une scène en tous points identiques : la convocation d'un commissionnaire pour récupérer à la même adresse une malle qui, au bout du compte, ne part jamais... sauf le jour où elle contient un cadavre... A l'instar du grand Gaston Leroux, Louis Roubaud s'amuse à se mettre en scène dans une enquête à tiroirs en collant aux basques de policiers plutôt bonasses.
Il exploite une à une toutes les hypothèses avant de les dégonfler, souffle le chaud et le froid, se plaît à nous faire tourner en rond jusqu'à la scène finale, particulièrement astucieuse... Feuilleton à rebondissements où se mêlent les saveurs de l'opium, le fumet de la canaille et les troubles parfums des beaux quartiers, Un homme nu dans une malle, réédité pour la première fois, se devait de quitter la consigne où on l'avait oublié, pour le plus trouble plaisir des amateurs de mystère.