Un fléau si rentable. Vérités et mensonges sur l'huile de palme
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- Nombre de pages261
- PrésentationBroché
- Poids0.348 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-7021-4445-9
- EAN9782702144459
- Date de parution28/08/2013
- ÉditeurCalmann-Lévy
Résumé
Difficile d'échapper à l'huile de palme : elle est omniprésente dans les aliments issus de l'industrie agroalimentaire distribués par les grandes surfaces ainsi que dans moult autres produits - biscuits, friandises, pâtisseries, lait en poudre, condiments, plats cuisinés, glaces, pizzas, cosmétiques, savons... Pourquoi ? Parce que ses propriétés mécaniques et thermiques lui garantissent une "tenue" incomparablement plus stable à toutes températures que n'importe quelle autre matière grasse végétale.
Et ses propriétés nutritives? Elles sont mises en cause de façon insistante et répétée par de nombreuses ONG et agences pour la protection de la santé publique du fait de sa haute teneur en acides gras saturés, synonyme d'obésité chez les consommateurs ayant peu accès aux produits frais. Les critiques ne s'arrêtent pas à cet aspect des choses. La culture intensive du palmier à huile, une plante originaire d'Afrique, est si lucrative qu'elle a envahi toute la ceinture tropicale de la planète, avec des effets ravageurs sur les biotopes, la biodiversité et les populations autochtones.
En Indonésie, en Malaisie, en Afrique centrale ou en Amérique latine, on défriche des millions d'hectares de forêt primaire pour y substituer des plantations immenses de palmiers à huile tirés au cordeau. Souvent à la faveur de gouvernements corrompus, les multinationales agroalimentaires exploitent ces terres en faisant appel à une main d'ouvre bon marché, paupérisée par la ruine de leur mode de subsistance traditionnel.
Le sujet est quasi-tabou : les "agros" et ces gouvernements veillent et n'hésitent pas à assigner les journalistes trop curieux ou trop critiques, tant le "business" de l'huile de palme est sensible aux opinions des consommateurs. Emmanuelle Grundmann nous livre la première enquête documentée, rigoureuse et impartiale sur ce nouvel or "vert" (les guillemets sont ironiques). Elle fait le tri entre les vérités et les mensonges qui polluent le débat depuis plus de vingt ans, et ce travail réserve au lecteur bien des surprises.
Et ses propriétés nutritives? Elles sont mises en cause de façon insistante et répétée par de nombreuses ONG et agences pour la protection de la santé publique du fait de sa haute teneur en acides gras saturés, synonyme d'obésité chez les consommateurs ayant peu accès aux produits frais. Les critiques ne s'arrêtent pas à cet aspect des choses. La culture intensive du palmier à huile, une plante originaire d'Afrique, est si lucrative qu'elle a envahi toute la ceinture tropicale de la planète, avec des effets ravageurs sur les biotopes, la biodiversité et les populations autochtones.
En Indonésie, en Malaisie, en Afrique centrale ou en Amérique latine, on défriche des millions d'hectares de forêt primaire pour y substituer des plantations immenses de palmiers à huile tirés au cordeau. Souvent à la faveur de gouvernements corrompus, les multinationales agroalimentaires exploitent ces terres en faisant appel à une main d'ouvre bon marché, paupérisée par la ruine de leur mode de subsistance traditionnel.
Le sujet est quasi-tabou : les "agros" et ces gouvernements veillent et n'hésitent pas à assigner les journalistes trop curieux ou trop critiques, tant le "business" de l'huile de palme est sensible aux opinions des consommateurs. Emmanuelle Grundmann nous livre la première enquête documentée, rigoureuse et impartiale sur ce nouvel or "vert" (les guillemets sont ironiques). Elle fait le tri entre les vérités et les mensonges qui polluent le débat depuis plus de vingt ans, et ce travail réserve au lecteur bien des surprises.
Difficile d'échapper à l'huile de palme : elle est omniprésente dans les aliments issus de l'industrie agroalimentaire distribués par les grandes surfaces ainsi que dans moult autres produits - biscuits, friandises, pâtisseries, lait en poudre, condiments, plats cuisinés, glaces, pizzas, cosmétiques, savons... Pourquoi ? Parce que ses propriétés mécaniques et thermiques lui garantissent une "tenue" incomparablement plus stable à toutes températures que n'importe quelle autre matière grasse végétale.
Et ses propriétés nutritives? Elles sont mises en cause de façon insistante et répétée par de nombreuses ONG et agences pour la protection de la santé publique du fait de sa haute teneur en acides gras saturés, synonyme d'obésité chez les consommateurs ayant peu accès aux produits frais. Les critiques ne s'arrêtent pas à cet aspect des choses. La culture intensive du palmier à huile, une plante originaire d'Afrique, est si lucrative qu'elle a envahi toute la ceinture tropicale de la planète, avec des effets ravageurs sur les biotopes, la biodiversité et les populations autochtones.
En Indonésie, en Malaisie, en Afrique centrale ou en Amérique latine, on défriche des millions d'hectares de forêt primaire pour y substituer des plantations immenses de palmiers à huile tirés au cordeau. Souvent à la faveur de gouvernements corrompus, les multinationales agroalimentaires exploitent ces terres en faisant appel à une main d'ouvre bon marché, paupérisée par la ruine de leur mode de subsistance traditionnel.
Le sujet est quasi-tabou : les "agros" et ces gouvernements veillent et n'hésitent pas à assigner les journalistes trop curieux ou trop critiques, tant le "business" de l'huile de palme est sensible aux opinions des consommateurs. Emmanuelle Grundmann nous livre la première enquête documentée, rigoureuse et impartiale sur ce nouvel or "vert" (les guillemets sont ironiques). Elle fait le tri entre les vérités et les mensonges qui polluent le débat depuis plus de vingt ans, et ce travail réserve au lecteur bien des surprises.
Et ses propriétés nutritives? Elles sont mises en cause de façon insistante et répétée par de nombreuses ONG et agences pour la protection de la santé publique du fait de sa haute teneur en acides gras saturés, synonyme d'obésité chez les consommateurs ayant peu accès aux produits frais. Les critiques ne s'arrêtent pas à cet aspect des choses. La culture intensive du palmier à huile, une plante originaire d'Afrique, est si lucrative qu'elle a envahi toute la ceinture tropicale de la planète, avec des effets ravageurs sur les biotopes, la biodiversité et les populations autochtones.
En Indonésie, en Malaisie, en Afrique centrale ou en Amérique latine, on défriche des millions d'hectares de forêt primaire pour y substituer des plantations immenses de palmiers à huile tirés au cordeau. Souvent à la faveur de gouvernements corrompus, les multinationales agroalimentaires exploitent ces terres en faisant appel à une main d'ouvre bon marché, paupérisée par la ruine de leur mode de subsistance traditionnel.
Le sujet est quasi-tabou : les "agros" et ces gouvernements veillent et n'hésitent pas à assigner les journalistes trop curieux ou trop critiques, tant le "business" de l'huile de palme est sensible aux opinions des consommateurs. Emmanuelle Grundmann nous livre la première enquête documentée, rigoureuse et impartiale sur ce nouvel or "vert" (les guillemets sont ironiques). Elle fait le tri entre les vérités et les mensonges qui polluent le débat depuis plus de vingt ans, et ce travail réserve au lecteur bien des surprises.