Tuerie d'Auriol, la vie d'une rescapée

Par : Marina Massie
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  • Nombre de pages116
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.225 kg
  • Dimensions15,5 cm × 21,5 cm × 1,5 cm
  • ISBN2-84825-163-8
  • EAN9782848251639
  • Date de parution21/11/2006
  • ÉditeurFrance Europe Editions
  • ContributeurPascale Hurtado

Résumé

18 juillet 1981: six personnes d'une même famille, dont un enfant de huit ans, sont massacrées dans une bastide proche de Marseille. Effroyable fait divers, la " tuerie d'Auriol " tourne rapidement à l'affaire politique lorsque l'enquête révèle qu'elles ont été victimes d'un commando du SAC (Service d'action civique), le service de sécurité controversé du parti gaulliste. Un homme était visé: Jacques Massie, inspecteur de police stagiaire et responsable départemental de cette organisation.
En voulant l'atteindre, les hommes du SAC ont exécuté de sang-froid toute sa famille. Marina, la sœur de Jacques, aurait dû se trouver elle aussi à la bastide cette nuit-là. Rescapée de cette tuerie, elle l'est à double titre: le sort a voulu qu'elle ne se rende pas à Auriol le 18 juillet; sa force de caractère a fait qu'elle a continué à vivre malgré tout. Malgré la disparition des siens dans des conditions épouvantables.
Malgré le cauchemar des années de lutte contre la toxicomanie de son fils aîné, traumatisé par ce drame, qui finira par se suicider en 1990. Vingt-cinq ans après la terrible nuit du 18 juillet 1981, Marina Massie nous replonge dans les faits par son témoignage de femme et de mère, très loin du point de vue des médias. Elle nous dit comment l'horreur s'empare d'une vie ordinaire. Comment l'on y survit.
18 juillet 1981: six personnes d'une même famille, dont un enfant de huit ans, sont massacrées dans une bastide proche de Marseille. Effroyable fait divers, la " tuerie d'Auriol " tourne rapidement à l'affaire politique lorsque l'enquête révèle qu'elles ont été victimes d'un commando du SAC (Service d'action civique), le service de sécurité controversé du parti gaulliste. Un homme était visé: Jacques Massie, inspecteur de police stagiaire et responsable départemental de cette organisation.
En voulant l'atteindre, les hommes du SAC ont exécuté de sang-froid toute sa famille. Marina, la sœur de Jacques, aurait dû se trouver elle aussi à la bastide cette nuit-là. Rescapée de cette tuerie, elle l'est à double titre: le sort a voulu qu'elle ne se rende pas à Auriol le 18 juillet; sa force de caractère a fait qu'elle a continué à vivre malgré tout. Malgré la disparition des siens dans des conditions épouvantables.
Malgré le cauchemar des années de lutte contre la toxicomanie de son fils aîné, traumatisé par ce drame, qui finira par se suicider en 1990. Vingt-cinq ans après la terrible nuit du 18 juillet 1981, Marina Massie nous replonge dans les faits par son témoignage de femme et de mère, très loin du point de vue des médias. Elle nous dit comment l'horreur s'empare d'une vie ordinaire. Comment l'on y survit.