Un magnifique roman noir, envoûtant et poétique.
Naomi Cottle a fait de la recherche des enfants disparus sa raison de vivre.
Armée d’un instinct et d’un sens de l’observation peu communs, elle est parvenue à sortir de l’enfer plusieurs dizaines d’enfants que l’on pensait ne plus jamais retrouver.
Madison avait 5 ans lorsqu’elle a disparu en pleine forêt alors qu’elle accompagnait ses parents pour chercher un sapin.
Quand ils entendent parler de « la femme qui retrouve les enfants », après trois longues années de recherches infructueuses, ils placent donc leur
dernier espoir en Naomi.
Mais comment une si jeune enfant aurait pu survivre dans ces immenses forêts de l’Oregon où la neige est reine absolue ?
Naomi parviendra t-elle à la retrouver, à se retrouver elle-même, et à faire la paix avec son propre traumatisme ?
Les lecteurs de thrillers recherchent en général des sensations fortes dans leurs lectures. Frissons, angoisse, et craintes en tous genres.
Pour cela, il faut bien entendu que l’histoire soit prenante, mais il est surtout absolument nécessaire que le style de l’auteur parvienne à nous embarquer, à nous faire prendre part, d’une façon ou d’une autre, à son récit.
Et Rene Denfeld y parvient mieux que quiconque dans ce roman.
Elle réalise là une véritable performance : écrire, et décrire, une histoire sur l’une des pires choses qui soient au monde, en y intégrant une délicatesse que je n’avais encore jamais rencontrée dans ce genre de littérature.
Sa plume est tout simplement lumineuse, et moi je suis conquise.
Le sujet du livre est certainement l’un des plus difficiles à traiter.
Tout ce qui touche à l’enfance, et à l’innocence volée, provoque souvent chez le lecteur une réaction épidermique.
Mais l’auteure arrive ici à nous faire aller au-delà de la colère légitime.
L’obscurité et l’espoir s’entremêlent à chaque page, la douleur et la poésie, à chaque chapitre.
Avec justesse et tact, elle use des mots les plus doux pour raconter l’innommable, sans jamais verser ni dans le voyeurisme, ni dans la pudibonderie.
Une lecture addictive qui nous entraîne dans une enquête captivante.
Un roman envoûtant, à découvrir aussi rapidement que possible.
Captivant et poétique.
Un magnifique roman noir, envoûtant et poétique.
Naomi Cottle a fait de la recherche des enfants disparus sa raison de vivre.
Armée d’un instinct et d’un sens de l’observation peu communs, elle est parvenue à sortir de l’enfer plusieurs dizaines d’enfants que l’on pensait ne plus jamais retrouver.
Madison avait 5 ans lorsqu’elle a disparu en pleine forêt alors qu’elle accompagnait ses parents pour chercher un sapin.
Quand ils entendent parler de « la femme qui retrouve les enfants », après trois longues années de recherches infructueuses, ils placent donc leur dernier espoir en Naomi.
Mais comment une si jeune enfant aurait pu survivre dans ces immenses forêts de l’Oregon où la neige est reine absolue ?
Naomi parviendra t-elle à la retrouver, à se retrouver elle-même, et à faire la paix avec son propre traumatisme ?
Les lecteurs de thrillers recherchent en général des sensations fortes dans leurs lectures. Frissons, angoisse, et craintes en tous genres.
Pour cela, il faut bien entendu que l’histoire soit prenante, mais il est surtout absolument nécessaire que le style de l’auteur parvienne à nous embarquer, à nous faire prendre part, d’une façon ou d’une autre, à son récit.
Et Rene Denfeld y parvient mieux que quiconque dans ce roman.
Elle réalise là une véritable performance : écrire, et décrire, une histoire sur l’une des pires choses qui soient au monde, en y intégrant une délicatesse que je n’avais encore jamais rencontrée dans ce genre de littérature.
Sa plume est tout simplement lumineuse, et moi je suis conquise.
Le sujet du livre est certainement l’un des plus difficiles à traiter.
Tout ce qui touche à l’enfance, et à l’innocence volée, provoque souvent chez le lecteur une réaction épidermique.
Mais l’auteure arrive ici à nous faire aller au-delà de la colère légitime.
L’obscurité et l’espoir s’entremêlent à chaque page, la douleur et la poésie, à chaque chapitre.
Avec justesse et tact, elle use des mots les plus doux pour raconter l’innommable, sans jamais verser ni dans le voyeurisme, ni dans la pudibonderie.
Une lecture addictive qui nous entraîne dans une enquête captivante.
Un roman envoûtant, à découvrir aussi rapidement que possible.