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  • Nombre de pages202
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.11 kg
  • Dimensions10,9 cm × 18,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN2-02-032364-8
  • EAN9782020323642
  • Date de parution27/08/1997
  • CollectionPoints
  • ÉditeurSeuil

Résumé

Qui sait ce qu'il en est d'aimer ? Détailler l'un pour l'autre les petites contrariétés et les menus faits du jour ; remplir son sac de voyage de ses vêtements courants, s'asseoir à la table de la cuisine et tenter de rédiger un mot d'adieu commençant par " Cher Rémi " ; se laisser surprendre, la nuit, par une crise de solitude ; passer l'essentiel de ses journées coincée entre un téléphone, un fax, des dossiers, puis, un beau jour, partir pour le Japon... Ce sont huit histoires, liées par une même ironie.
Elles semblent s'ordonner autour de questions sans importance, mais toutes, souterrainement, retracent une rupture, l'instant d'une décision, le moment où nous choisissons notre vie.
Qui sait ce qu'il en est d'aimer ? Détailler l'un pour l'autre les petites contrariétés et les menus faits du jour ; remplir son sac de voyage de ses vêtements courants, s'asseoir à la table de la cuisine et tenter de rédiger un mot d'adieu commençant par " Cher Rémi " ; se laisser surprendre, la nuit, par une crise de solitude ; passer l'essentiel de ses journées coincée entre un téléphone, un fax, des dossiers, puis, un beau jour, partir pour le Japon... Ce sont huit histoires, liées par une même ironie.
Elles semblent s'ordonner autour de questions sans importance, mais toutes, souterrainement, retracent une rupture, l'instant d'une décision, le moment où nous choisissons notre vie.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

1 Coup de cœur
de nos libraires
FabienDecitre Part-Dieu
5/5
L'écriture est une infinité de possibilité
Ce recueil de nouvelles a un charme dont je ne me lasse pas, je l'ai relu plusieurs fois, avec le même enthousiasme. L'écriture addictive de Desplechin est parfois mordante, toujours pleine d'ironie, elle nous fait rire par son espièglerie, et nous porte au bord des larmes quand pointe, ici ou là, une mélancolie qui nous ressemble. La vie tourmentée de ses personnages nous devient familière, la chaleur des sentiments qui les traversent, nous touche profondément. Je n'entre pas dans le détail de chacune des nouvelles pour laisser le plaisir entier de la découverte, une simple citation extraite de l'une d'entre elles, « Le vendeur de kiwis » : « On échappe à la solitude que par à-coups. Et l'amitié fabrique des à-coups. J'aime l'amitié. Elle a le goût de cette bouffée d'air que les tortionnaires laissent prendre à leur victime avant de lui replonger la tête dans l'eau. Je ne remets pas en cause la saveur du souffle. Ce qui me tue, c'est que le reste du temps, on étouffe. Notez bien, l'amitié n'est pas la seule à nous tirer momentanément le nez hors de la baignoire. Il y a aussi l'ivresse. Il y a surtout l'amour. Tout cela donne le sentiment grisant d'échapper à la noyade. Un instant. Les gens appellent ça le bonheur. Moi aussi. Avec réserve ».
Ce recueil de nouvelles a un charme dont je ne me lasse pas, je l'ai relu plusieurs fois, avec le même enthousiasme. L'écriture addictive de Desplechin est parfois mordante, toujours pleine d'ironie, elle nous fait rire par son espièglerie, et nous porte au bord des larmes quand pointe, ici ou là, une mélancolie qui nous ressemble. La vie tourmentée de ses personnages nous devient familière, la chaleur des sentiments qui les traversent, nous touche profondément. Je n'entre pas dans le détail de chacune des nouvelles pour laisser le plaisir entier de la découverte, une simple citation extraite de l'une d'entre elles, « Le vendeur de kiwis » : « On échappe à la solitude que par à-coups. Et l'amitié fabrique des à-coups. J'aime l'amitié. Elle a le goût de cette bouffée d'air que les tortionnaires laissent prendre à leur victime avant de lui replonger la tête dans l'eau. Je ne remets pas en cause la saveur du souffle. Ce qui me tue, c'est que le reste du temps, on étouffe. Notez bien, l'amitié n'est pas la seule à nous tirer momentanément le nez hors de la baignoire. Il y a aussi l'ivresse. Il y a surtout l'amour. Tout cela donne le sentiment grisant d'échapper à la noyade. Un instant. Les gens appellent ça le bonheur. Moi aussi. Avec réserve ».
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